Les amendements de Laurence Cohen pour ce dossier

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Je comprends l'intervention du rapporteur général. La prévention bucco-dentaire est importante. Comment être sûr qu'elle se pratique partout si elle n'est pas inscrite dans la loi ? Le département du Val-de-Marne, qui est à l'avant-garde de la prévention, comme la Seine-Saint-Denis autrefois, mène des actions extrêmement intéressantes mais qu'e...

Monsieur le rapporteur, vous avez raison, mais la sclérose en plaque est une maladie extrêmement invalidante. À cause de l'article 40 de la Constitution, nous ne pouvons pas aller plus loin qu'une demande de rapport. Nous avons besoin d'un débat sur ce sujet en séance et d'un engagement du Gouvernement contre cette maladie. Je ne retirerai pas ...

Je signale une coquille dans l'objet de l'amendement n° 348 du groupe CRC, qui a été déplacé après l'article 8. Ce sont bien les salaires qui représentent 66 % du budget des établissements publics de santé, et non la taxe sur ces mêmes salaires.

Nous ne voulons pas tant un rapport qu'un échange en séance sur le sujet. Dans notre rapport sur l'excellence sanitaire française dans l'Océan indien, nous recommandions que les territoires d'outre-mer soient précurseurs dans la télémédecine, au vu de la pénurie médicale dont ils souffrent.

Les patients souffrant d'une ALD ont besoin d'une prise en charge globale. Cet amendement répond aux préoccupations des médecins, dont certains, qui avaient traité des affections bénignes liées aux ALD, se sont vu infliger de lourdes amendes pour les avoir rangées dans la prise en charge à 100 %. Il est de fait difficile, dans une affection chr...

L'amendement que nous venons d'examiner ne concerne pas ce point. Les médecins nous ont alertés sur les difficultés que soulève l'apposition d'une mention manuscrite.

Cette question mérite débat. Il y a plusieurs taux de remboursement ; or soit un médicament apporte un bienfait et il doit être remboursé, soit il n'en apporte pas et il ne doit pas l'être du tout.

Nous voulons rendre ce comité plus démocratique, en incluant non seulement des parlementaires, mais aussi des représentants des fédérations hospitalières.

C'est un débat que nous devons avoir. Notre mission à La Réunion nous a fait toucher du doigt les ravages du syndrome d'alcoolisation foetale. Ce n'est pas en apposant un logo sur les bouteilles qu'on règlera ce problème. C'est une question qui appelle, avant tout, un travail de prévention : notre amendement se veut une façon d'ouvrir le débat.