Les amendements de Nicolas About pour ce dossier
79 interventions trouvées.
a indiqué que cette table ronde a été organisée à l'initiative d'Anne-Marie Payet qui, au sein de la commission, s'est employée à obtenir le vote des dispositions protégeant les femmes enceintes contre le risque de l'alcoolisation foetale. Il a ensuite interrogé les experts sur la définition qu'il convient de donner au terme d'addiction. Le pr...
s'est étonné que seul le cannabis ait été mentionné parmi les drogues addictives. Doit-on par ailleurs considérer que la différence entre les nouvelles et les anciennes formes de dépendance consisterait en ce que celles-ci sont passives, à l'instar de l'alcoolisme, tandis que celles-là sont actives ? Le professeur Marc Valleur, psychiatre, méd...
a précisé que, dans le cadre de la T2A, la politique de prévention peut être inscrite dans la partie « mission d'intérêt général ».
s'est enquis de la répartition et de l'évolution des addictions en France. Le professeur Martine Daoust a noté qu'à juste titre, les sénateurs s'inquiètent du risque lié à l'alcool ; c'est effectivement celui dont l'impact est le plus néfaste pour la survie de la société. Le manque de moyens est criant et, à Amiens, il est cause de nombreux dé...
a demandé quels pouvaient être les axes prioritaires d'une politique efficace de lutte contre les addictions. Le professeur Philippe Batel a affirmé que le rôle des associations dans la guérison des malades est scientifiquement établi. Le problème de nombre de thérapies promues par ces associations est néanmoins qu'elles adoptent une vision ca...
a précisé qu'il s'agit là d'une mesure relevant du pouvoir réglementaire. Le professeur Roger Nordmann a indiqué qu'il est souhaitable de faire apparaître clairement le contenu en alcool des différentes boissons comme les bières. Sur quatorze variétés de bières couramment disponibles dans les grandes surfaces, le contenu en alcool varie de 8 à...
a rappelé qu'une telle répartition des permanences de soins était déjà possible et qu'elle était même généralisée par le passé, avant que le transport systématique des malades à l'hôpital par les pompiers n'engorge les services d'urgence publics et ne pousse les cliniques à interrompre ce service.
a souligné la convergence de vues entre les travaux de la commission des affaires sociales et les propositions émises par la commission de concertation. Il a voulu savoir si des recommandations ont été faites dans le secteur de la prise en charge psychiatrique.
a reconnu que les études post-AMM soulèvent deux questions : celle du délai d'application des mesures adoptées et celle de la sanction pour les études prescrites dans le cadre d'un plan de gestion des risques.
a insisté sur la nécessité d'interroger le ministre en séance sur l'applicabilité de la mesure nouvelle adoptée.
s'est étonné que les entreprises pharmaceutiques développent des programmes d'apprentissage destinés à apprendre à un patient comment réaliser une injection, alors que cette tâche pourrait être accomplie par un professionnel de santé.
s'est interrogé sur la nécessité d'adopter une législation spécifique pour encadrer les programmes d'accompagnement ou d'apprentissage.
a rappelé que l'ONDPS, créé en 2003, a contribué à la réalisation de nombreuses études sur la démographie médicale, dont les conclusions peuvent être différentes selon les critères et les méthodes d'analyse retenus. Il a notamment souligné le paradoxe qui veut que le nombre total de médecins en activité augmente, surtout dans les classes d'âge ...
a souhaité que l'on revienne sur le problème de la disparité médicale qui conduit certains départements à être privés de médecins, tandis que des grandes villes connaissent une situation de surpopulation médicale.
s'est montré sceptique sur l'effet des mesures d'ordre financier, car le revenu moyen des médecins exerçant dans les zones sous-médicalisées est déjà supérieur à celui de leurs collègues installés dans des zones excédentaires.
a souligné le paradoxe qui veut que le médecin généraliste soit au centre du système de soins, alors que l'on observe parallèlement une désaffection pour cette profession.
a précisé que sur les quatre mille zones déficitaires mises respectivement en évidence par différentes études, seules mille sont superposables, ce qui pose la question cruciale des critères de définition à retenir pour les identifier.
a suggéré d'en confier la responsabilité à la direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins (DHOS) ou à la direction générale de la santé (DGS)
En préambule, M. Nicolas About, président, a rappelé que la commission est particulièrement intéressée par le développement des maisons de santé pluridisciplinaires, en raison de leur effet potentiel sur l'harmonisation de l'offre de soins sur le territoire. Ce nouveau mode d'exercice de la médecine libérale est-il susceptible de résoudre le pr...
ayant souhaité connaître le nombre d'habitants susceptibles de recourir à la maison de santé de Bletterans, M. Jean-Michel Mazué l'a estimé à environ 20 000.