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Vous pouviez demander au Parlement de revoir la loi.
il n’en est pas moins en grande souffrance. (Mêmes mouvements sur les mêmes travées.) : chômage massif, emploi industriel en chute libre, pouvoir d’achat en recul, dette publique abyssale, des riches toujours plus riches et des pauvres de plus en plus nombreux.
Monsieur le Premier ministre, vous avez vous-même dressé le tableau de la situation que nous ont léguée dix ans de politique de la droite §
Pour certains, la crise serait tombée du ciel. Eh bien non, la crise n’est pas tombée du ciel : elle résulte de la financiarisation continue de l’économie à l’échelle mondiale, financiarisation mise en place ou soutenue par les États eux-mêmes. Nous avons combattu sans concession la politique de la droite et nous avons contribué à ce que celle...
Toutefois, partie prenante de la majorité de gauche et souhaitant que celle-ci réussisse, nous ferons en sorte d’être utiles à nos concitoyens pour permettre que les changements attendus aboutissent. Lors de votre nomination, vous avez déclaré que la page du sarkozysme était tournée. Nous apprécions les symboles, comme celui d’une présidence e...
Le collectif budgétaire que vous avez présenté ce matin en conseil des ministres reviendra, si j’ai bien lu ce que la presse a écrit à ce sujet, sur des mesures iniques prises par la droite, comme le cumul, cette année, de l’allégement de l’ISF et du bouclier fiscal, la TVA « antisociale » ou encore l’exonération des heures supplémentaires pour...
Nous craignons que la baisse de l’emploi public, conjuguée à l’état désastreux de l’emploi privé, ne soit un handicap de taille pour amorcer une relance économique pourtant urgente, et même urgentissime. Cette urgence économique et sociale nous oblige. Nous ne pouvons pas décevoir les attentes de nos concitoyens. La Conférence sociale va se te...
Heureuse suppression !
Cela vous va bien de dire cela !
C’est vrai !
À qui la faute ?
Bravo, la droite !
Calmez Mlle Joissains !
Et il n’était pas là !
Vous n’avez même pas assisté à la dernière conférence des présidents !
Mme Nicole Borvo Cohen-Seat. Je demande la parole, monsieur le président.
Mme Nicole Borvo Cohen-Seat. Je sais que je vous fais plaisir en intervenant, chers collègues.
Concernant les deux orateurs de l’opposition que nous venons d’entendre, je remarque que notre collègue de l’UCR n’était pas présent lors de la conférence des présidents et, si notre collègue de l’UMP était, elle, présente, j’observe qu’elle n’a pas demandé, à cette occasion, que la déclaration du Gouvernement soit suivie d’un vote. Donc, chère...
Il ne vous a pas échappé, madame Troendle, monsieur Zocchetto, que la gauche, comme la majorité au Sénat, était diverse.
En effet ! Je tiens à vous dire très simplement qu’en ce qui nous concerne nous sommes attachés à la réussite de la gauche et que nos votes iront dans le sens des attentes de nos concitoyens afin de nous donner les moyens de redresser notre pays, que vous avez laissé dans une situation catastrophique !