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a demandé quels avaient été, dans la lutte contre la pandémie, les avantages relatifs de la campagne pour le lavage des mains et de la vaccination.
a demandé quels avaient été, dans la lutte contre la pandémie, les avantages relatifs de la campagne pour le lavage des mains et de la vaccination.
a ajouté que la non-association des médecins généralistes à la campagne de vaccination a également été une erreur.
a ajouté que la non-association des médecins généralistes à la campagne de vaccination a également été une erreur.
a demandé s'il fallait déduire de l'exemple de la campagne menée en 1976 aux Etats-Unis que la vaccination de masse n'était pas la réponse la plus adaptée à une pandémie grippale.
a demandé s'il fallait déduire de l'exemple de la campagne menée en 1976 aux Etats-Unis que la vaccination de masse n'était pas la réponse la plus adaptée à une pandémie grippale.
a demandé quels seraient, très concrètement, les études à conduire et les moyens à mettre en oeuvre pour améliorer la connaissance de la grippe - saisonnière ou pandémique- et de ses impacts et pour apprécier l'efficacité de la vaccination antigrippale.
a demandé quels seraient, très concrètement, les études à conduire et les moyens à mettre en oeuvre pour améliorer la connaissance de la grippe - saisonnière ou pandémique- et de ses impacts et pour apprécier l'efficacité de la vaccination antigrippale.
a relevé que l'action contre la grippe H1N1 avait découlé de la préparation contre l'éventualité d'une grippe H5N1, dont on prévoyait qu'elle serait très grave. Les choix faits en matière de vaccination en France, mais aussi dans d'autres pays, le reflètent : le Royaume-Uni avait prévu de vacciner non pas 80 % mais 100 % de se population. Il a ensuite interrogé M. Michel Setbon sur ses travaux : comme il l'a indiqué devant la commission d'enquête de l'Assemblée nationale, les deux enquêtes qu'il a menées sur le sentiment des Français face à la vaccination ont été financées par le Service d'infor...
a relevé que l'action contre la grippe H1N1 avait découlé de la préparation contre l'éventualité d'une grippe H5N1, dont on prévoyait qu'elle serait très grave. Les choix faits en matière de vaccination en France, mais aussi dans d'autres pays, le reflètent : le Royaume-Uni avait prévu de vacciner non pas 80 % mais 100 % de se population. Il a ensuite interrogé M. Michel Setbon sur ses travaux : comme il l'a indiqué devant la commission d'enquête de l'Assemblée nationale, les deux enquêtes qu'il a menées sur le sentiment des Français face à la vaccination ont été financées par le Service d'infor...
Relevant qu'à l'Assemblée nationale, M. Michel Setbon avait dit que l'échec de la campagne de vaccination pouvait être prévu, M. Alain Milon, rapporteur, s'est demandé comment on pouvait expliquer l'adaptation tardive de la stratégie vaccinale à la réalité de la situation.
Relevant qu'à l'Assemblée nationale, M. Michel Setbon avait dit que l'échec de la campagne de vaccination pouvait être prévu, M. Alain Milon, rapporteur, s'est demandé comment on pouvait expliquer l'adaptation tardive de la stratégie vaccinale à la réalité de la situation.
a souligné que la meilleure protection contre une maladie virale n'est pas obligatoirement la vaccination. Contre le sida et la grippe, ce sont le préservatif et le lavage des mains. Certes, ce sont des méthodes pas chères, et qui ne suffiraient sans doute pas à satisfaire les laboratoires pharmaceutiques... Mais comment expliquer le décalage dans la perception du risque entre les autorités sanitaires et la communauté scientifique d'une part, la population et les médecins généralistes d'autre part ?...
a souligné que la meilleure protection contre une maladie virale n'est pas obligatoirement la vaccination. Contre le sida et la grippe, ce sont le préservatif et le lavage des mains. Certes, ce sont des méthodes pas chères, et qui ne suffiraient sans doute pas à satisfaire les laboratoires pharmaceutiques... Mais comment expliquer le décalage dans la perception du risque entre les autorités sanitaires et la communauté scientifique d'une part, la population et les médecins généralistes d'autre part ?...
a dit avoir constaté que les médecins, s'ils n'avaient pas pu vacciner leurs patients contre la grippe, les avaient beaucoup encouragés à se faire vacciner contre les complications pulmonaires de la grippe et il a demandé à M. Setbon s'il avait également observé cette hausse de la vaccination antipneumococcique.
a dit avoir constaté que les médecins, s'ils n'avaient pas pu vacciner leurs patients contre la grippe, les avaient beaucoup encouragés à se faire vacciner contre les complications pulmonaires de la grippe et il a demandé à M. Setbon s'il avait également observé cette hausse de la vaccination antipneumococcique.
a souhaité connaître l'opinion de M. Roger Salamon sur les propos de M. Yves Charpak, décelant une réticence du HCSP face à la vaccination de masse.
a souhaité connaître l'opinion de M. Roger Salamon sur les propos de M. Yves Charpak, décelant une réticence du HCSP face à la vaccination de masse.
a demandé si M. Roger Salamon partageait l'opinion exprimée par le professeur Gentilini sur le plus grand intérêt de la vaccination contre le pneumocoque afin de lutter contre les complications grippales.
a demandé si M. Roger Salamon partageait l'opinion exprimée par le professeur Gentilini sur le plus grand intérêt de la vaccination contre le pneumocoque afin de lutter contre les complications grippales.