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Vous avez insisté sur la complémentarité des actions civiles et militaires en Afghanistan. Il semblerait que la contribution française sur le plan civil soit très modeste. Quelles en sont les raisons et cette situation est-elle commentée par nos partenaires à l'OTAN ?
s'est interrogé sur les conditions dans lesquelles la France, qui a perdu 40 soldats, est engagée en Afghanistan. Il a souligné que la communication sur la situation militaire, qui mettait sur le même plan l'Afghanistan, l'envoi de renforts et l'évocation d'un retrait en 2011, était source d'ambiguïté et d'interrogations. Il a fait remarquer que sur la lutte contre la corruption, la gouvernance, la condition des femmes ou la lutte contre le trafic de drogue, les discours du gouvernement afghan étaient incan...
a interrogé le chef d'état-major sur les munitions et a posé la question de savoir si le fait de ne plus disposer de fabriquant pour les munitions légères ne posait pas un véritable problème d'indépendance nationale. Il a également souhaité connaître les enseignements que l'armée de terre tire de l'Afghanistan. En réponse, le général Elrick Irastorza a indiqué que, s'agissant des poudres et explosifs, le directeur général de l'armement était sans doute mieux placé pour répondre. Concernant l'Afghanistan, il a indiqué que les missions confiées, depuis 2001, aux forces armées, aussi bien au sein de l'ISAF que de l'opération Enduring Freedom - n'avaient pas changé, et qu'il s'agissait toujours de crée...
...its consacrés à l'APD plusieurs années consécutives les mêmes annulations de dette, lorsque celles-ci ne sont pas effectivement accordées. Il a ensuite demandé comment l'Agence française de développement procédait pour moduler la part des prêts et des subventions selon les pays concernés. Il a également souhaité savoir à quel type d'action seraient destinés les 20 millions d'euros consacrés à l'Afghanistan et au Pakistan dans le projet de loi de finances pour 2010. Il s'est enfin interrogé sur la capacité des pouvoirs publics à piloter et à évaluer les contributions françaises à plus de 70 institutions internationales.
...ltés du gouvernement pakistanais à les contrôler. Cette zone échappe donc en partie à l'action de l'armée pakistanaise, mais pas à l'influence des services secrets pakistanais. Evoquant la nécessité d'une réflexion globale menée dans le cadre de l'ONU pour établir un meilleur contrôle de ces territoires, il s'est interrogé sur la réalité d'une politique univoque du Pakistan qui serait hostile à l'Afghanistan. Le président Sebghatullah Modjadeddi a fait observer que l'ensemble du territoire afghan avait été libéré lors du retrait des troupes soviétiques ; une brève période de sécurité et de liberté avait alors prévalu dans le pays, qui a pris fin avec l'intervention directe, politique et militaire, du Pakistan. 95 % des difficultés de l'Afghanistan prennent leur source dans les zones de non-droit pak...