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Interventions sur "espèce" d'Angèle Préville


4 interventions trouvées.

...s. Je pense qu'il faudrait diffuser davantage les informations qui concernent cette part de la biodiversité. En effet, la compréhension des phénomènes complexes qui s'y rapportent se trouve à la portée de toutes et de tous, dès lors qu'ils sont bien expliqués. Je pose une question qui rejoint celles de mes collègues, mais qui aborde les choses différemment. Au regard de la disparition actuelle d'espèces et notamment de pollinisateurs, pourrons-nous continuer à nous nourrir de la même façon à l'avenir ?

...te ? Par ailleurs, la mésange charbonnière, qui n'est pas parvenue à décaler son cycle de ponte, est-elle déjà en train de s'adapter ? Cette mésange s'adaptera-t-elle plus rapidement que nous ne le pensons ? Monsieur Marteau, vous avez évoqué la situation des perruches et de perroquets. Je voudrais savoir si les perruches à collier que l'on trouve en assez grand nombre en Île-de-France sont une espèce invasive. Enfin, pour revenir sur les incendies survenus en Gironde, je souhaiterais savoir si nous disposons d'un état initial de la biodiversité, ainsi que d'informations sur les pertes subies. Ces pertes sont sans doute liées principalement à la forêt en elle-même. Un suivi de la reconquête des lieux sinistrés sera-t-il réalisé ? Je suppose que d'autres espèces rejoindront ces lieux en l'abse...

Le changement climatique, dont les effets se font déjà ressentir, impactera durement notre biodiversité. La faune et la flore ne s’adapteront pas facilement, même si la nature a des ressources insoupçonnées. D’ici à 2050, un million d’espèces pourraient disparaître. C’est dramatique, inimaginable ! Nous devons absolument être vigilants. Je vous donne un exemple : dans le sud de la France, le cycle de reproduction des mésanges est d’ores et déjà perturbé, car les chenilles, dont elles nourrissent leurs petits, ne sont plus présentes au bon moment. Cet amendement vise à préciser, comme l’a dit mon collègue Jérôme Bignon, que le futur...

Madame la présidente, madame la secrétaire d’État, mes chers collègues, l’effondrement massif de la biodiversité sur terre est une réalité malheureusement de plus en plus visible pour chacun d’entre nous : moins d’oiseaux moins d’insectes, moins de vers de terre… Or la biodiversité, c’est la vie, tout simplement. La biodiversité, c’est un vaste tissu d’interactions constantes entre les espèces, nous compris. Sans le maintien de la biodiversité, nous pourrions être confrontés à une crise alimentaire mondiale. Dans notre malheur, nous avons une chance inouïe : la nature possède une capacité de résilience extraordinaire, proprement incroyable, pour peu qu’on évite d’intervenir. Par ailleurs, je tiens à attirer votre attention, mes chers collègues, sur le fait que la France métropolitai...