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Interventions sur "pédagogique" de Cédric Vial


4 interventions trouvées.

M. Ouzoulias s’étonne de la phrase qui figure dans la loi du 23 avril 2005 d’orientation et de programme pour l’avenir de l’école, dite loi Fillon. Celle-ci avait été ajoutée à la demande des syndicats enseignants – il y avait de la concertation, à l’époque –, qui craignaient que ce nouvel outil, le conseil pédagogique, ne remette en cause leur liberté pédagogique. Cela peut sembler surprenant aujourd’hui, car le conseil pédagogique ne le ferait en aucun cas, mais la mention avait été inscrite pour rassurer les enseignants, à la demande de leurs syndicats.

...rs ministre de l’éducation, puis suspendue par un gouvernement de droite, lorsque Nicolas Sarkozy était président de la République. Il s’agissait tout simplement non pas de contraindre, mais de permettre à un enseignant, sur la base du volontariat, de passer une mention complémentaire, qui s’ajoute à sa discipline principale. C’est un choix qui lui appartient, pour des raisons intellectuelles ou pédagogiques, comme l’a dit Olivier Paccaud, mais aussi pragmatiques lorsqu’il préfère travailler dans un seul établissement, faire partie d’une communauté pédagogique, en enseignant deux matières – français et anglais ; mathématiques et physique. C’est déjà le cas dans l’enseignement privé, et l’on ne peut pas dire que les résultats y soient moins bons que dans l’enseignement public à cause de la bivalence…...

M. Ouzoulias s'étonne de la mention qui figure dans la loi du 23 avril 2005 d'orientation et de programme pour l'avenir de l'école, dite loi Fillon. À l'époque, cette phrase avait été ajoutée à la demande des syndicats enseignants – il y avait de la concertation, à l'époque –, qui craignaient que ce nouvel outil, le conseil pédagogique, ne remette en cause leur liberté pédagogique. Cette phrase peut sembler surprenante aujourd'hui, car le conseil pédagogique ne le ferait en aucun cas, mais elle avait été ajoutée pour rassurer les enseignants, à la demande des syndicats enseignants.

...rs ministre de l'éducation, puis suspendue par un gouvernement de droite, lorsque Nicolas Sarkozy était président de la République. Il s'agissait tout simplement non pas de contraindre, mais de permettre à un enseignant, sur la base du volontariat, de passer une mention complémentaire, qui s'ajoute à sa discipline principale. C'est un choix qui lui appartient, pour des raisons intellectuelles ou pédagogiques, comme l'a dit Olivier Paccaud, mais aussi pragmatiques lorsqu'il préfère travailler dans un seul établissement, faire partie d'une communauté pédagogique, en enseignant deux matières – français et anglais ; mathématiques et physique. C'est déjà le cas dans l'enseignement privé, et l'on ne peut pas dire que les résultats y soient moins bons que dans l'enseignement public à cause de la bivalence…...