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membre de la mission, a souligné la spécificité franco-française, ubuesque, consistant à multiplier les structures au détriment des objectifs prioritaires que devraient être la cohérence et la transparence du système. Il s'est dit convaincu de la nécessité de développer l'expertise et de réduire la dépendance de l'industrie pharmaceutique par rapport aux professions médicales, même si celle-ci ne doit pas être surestimée. Il a rappelé que la presse médicale française, grâce au financement des laboratoires et des universités, bénéficie d'une grande notoriété et d'un certain crédit au niveau international. Il s'est dit favorable à un certain pragmatisme eu égard à l'appréciation du SMR de certains produits pharmaceutiques, tels que ...
...on une logique industrielle. On leur demande d'y inclure une maîtrise médicalisée des dépenses, mais encore la préservation des emplois, ainsi que la pérennisation sur notre sol des sites de production et des centres de recherches pour les activités d'innovation et de développement. L'année dernière, la commission des affaires sociales avait envisagé de taxer le chiffre d'affaires des industries pharmaceutiques à hauteur de 0, 6 %. Cette année, à partir du taux de 1, 96% qu'avait retenu le Gouvernement, l'Assemblée nationale a adopté un taux de 1, 5%. Comme certains, on serait tenté de dire : pourquoi pas 1% ou 2 % ? Au moins, ce sont des chiffres ronds. En fait, pour nous, comme le rappelait M. Alain Vasselle tout à l'heure, la difficulté est d'avoir à décider sans véritablement appréhender les conséq...