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... peut adhérer tout à fait à cette affirmation, car le directeur de la musique d’André Malraux, Marcel Landowsky, fut l’un des pères fondateurs de la politique musicale telle que nous la connaissons aujourd’hui, mais il semble temps de passer à une nouvelle phase dans le soutien à la musique, en lui donnant un centre national capable de rassembler, de renforcer et de représenter les intérêts de la filière, tout en soutenant ses exportations à l’international. Monsieur le ministre, je vous remercie de la constance de votre action en ce domaine et de la qualité des concertations menées par votre ministère avec l’ensemble de la filière musicale. Si la proposition de loi que nous étudions aujourd’hui est une étape nécessaire dans le parcours chaotique de la création du Centre national de la musique,...
Cet amendement vise à prévoir un espace de dialogue entre les différents acteurs de la musique au sein du CNM. Si tous ne peuvent être représentés au conseil d’administration ou au conseil professionnel, il nous semble légitime que des espaces, des plateformes de dialogue et de concertation puissent réunir l’ensemble des acteurs de la filière, ce qui constitue l’une des missions premières du CNM. Les différents acteurs de la filière doivent pouvoir se connaître et échanger afin que les décisions reflètent au mieux l’intérêt général.
Les dernières réformes de l'enseignement général induisent des conséquences sur l'enseignement agricole. Les inquiétudes suscitées par la dernière réforme du baccalauréat général a cristallisé des inquiétudes dans les filières techniques. J'ai, à ce sujet, interpellé Jean-Michel Blanquer lors du débat initié par notre commission, le 3 octobre dernier. En outre, la loi relative à la liberté de choisir son avenir professionnel a semé le trouble dans plusieurs CFA ruraux, notamment publics, du fait de leurs futures difficultés de financement. Quelle sera la répartition entre l'enseignement agricole public et privé de ...
...posée. Concernant le baccalauréat sciences et technologies de l’agronomie et du vivant, ou STAV, seul baccalauréat technologique de l’enseignement agricole, il sera modifié, sans que l’on dispose de beaucoup de précisions à ce jour. La réforme laisse planer le risque d’une diminution d’horaires, donc d’un appauvrissement des contenus. Pouvez-vous nous en préciser les contours ? Par ailleurs, la filière de l’enseignement agricole, seule à être placée sous la responsabilité du ministère de l’agriculture, aurait été oubliée dans les choix proposés par Parcoursup. C’est grâce à la vigilance des enseignants que les filières proposées par les établissements agricoles ont été ajoutées. Certes, la double tutelle de cet enseignement ne simplifie pas les choses, mais comment mieux prendre en compte ces s...
...s remercie de votre réponse, monsieur le ministre. Je sais que vous pensez que l’enseignement agricole est un enseignement de qualité et que vous le citez en exemple. Nous le faisons aussi. Nous devons être très attentifs. C’est pourquoi je vous demande de vous assurer, en coordination avec les autres ministères – nous rencontrerons bientôt Mme Vidal –, que, en amont, aucun baccalauréat d’aucune filière n’a été oublié et que, en aval, les futurs bacheliers auront bien accès à toutes ces filières, grâce à Parcoursup.