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Poutine incarne-t-il le Mal ou seulement les aspirations de son peuple, en particulier un besoin de reconnaissance de la force passée de la Russie ? Les Russes ont leurs responsabilités dans les difficultés d'application des accords de Minsk, mais l'absence de majorité à Kiev en vue de voter la réforme constitutionnelle relative à la décentralisation n'est-elle pas la cause principale de l'échec ?
Concernant la Syrie, ne pensez-vous pas que, pendant que se déroulent les discussions de Vienne, les Russes travaillent à sécuriser une zone comprise entre la Méditerranée, Alep et Damas, dans laquelle se trouve le plus grand nombre de chrétiens, druzes, alaouites et de fidèles à Bachar el-Assad qui forment une « Syrie utile » où ils ont de surcroît leur base ? Qu'en est-il des convois de camions citernes entre l'Irak, la Syrie et l'est de la Turquie, évoqués par Vladimir Poutine ? Concernant la Li...
... contrer la ministre des affaires étrangères lituanienne qui voulait déclarer la guerre à la Russie et intégrer l'Ukraine dans l'Otan ! Poutine n'est-il pas allé un peu loin sur l'Ukraine orientale ? Une négociation aboutissant à la création d'un statut fédéral et garantissant la non-entrée de l'Ukraine dans l'Otan est effectivement une solution de long terme intéressante. L'engagement de troupes russes auprès des séparatistes ne risque-t-il pas de mettre cette perspective en péril ?
Si j'ai bien compris la démarche stratégique des Occidentaux en général et de la France en particulier, il s'agit d'une part d'unifier l'opposition - et cela est fait depuis Doha - et d'autre part de proposer un gouvernement de transition qui soit acceptable par tous y compris les Russes. Pour ma part, j'ai retenu de l'intervention de l'ambassadeur Orlov le fait qu'il nous ait dit que les Russes n'étaient pas attachés plus que cela à Bachar El Assad. Qu'en pensez-vous ?
s'est interrogé sur la situation de la flotte sous-marine nucléaire russe, tant en ce qui concerne les SNLE (sous-marins nucléaires lanceurs d'engins), qui seraient au nombre d'une dizaine, que les SNA (sous-marins nucléaires d'attaque). Il a évoqué les projets de restructuration des forces armées, qui impliquent le départ de 150 000 officiers en trois ans, et s'est demandé dans quelles conditions pouvait s'effectuer ce dégagement des cadres.