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Pour ce type de protection, la France devrait donc disposer de sa propre capacité de commandement, étant donné la diversité des zones de déploiement possibles et le fait que nous ne serons pas toujours engagés dans le cadre de l'OTAN ?
Comme lors de notre entretien à Washington, j'ai apprécié votre présentation du rôle de l'OTAN et de la place de la France au sein de cette organisation, après la réintégration pleine et entière de notre pays au sein des structures militaires, même si j'étais moi-même hostile à cette décision et qu'il est parfois difficile d'éclairer l'opinion publique française sur ce point. C'est un domaine dans lequel nous avons besoin d'arguments concrets et convaincants. Je vous remercie également d'...
La crise imposera nécessairement une réduction du périmètre de l'OTAN. Dans ces conditions, pourquoi évoquer la possibilité d'étendre ses actions à des opérations civiles. Quelle est la position des Etats sur cette évolution ? Ne risque-t-on pas de générer des coûts supplémentaires et quelle est la place de l'Europe dans ce dispositif ? Sur la défense antimissile, les Etats-Unis ont été très clairs et du côté français, tout le monde affirme, au plus haut niveau de ...
...n accomplie pour la commission en Afghanistan, au cours de laquelle les contacts avec les membres du Sénat afghan avaient mis en lumière leur souhait que la France renforce son aide au développement et son soutien à la sécurité. Il s'est demandé si cette vision positive de l'action française ne risquait pas d'être compromise par le retour envisagé de la France au sein du commandement intégré de l'OTAN ?
a souligné l'intérêt politique du débat sur la révision du concept stratégique de l'OTAN mais il a regretté que les autorités françaises anticipent sur sa conclusion en envisageant dès à présent une modification de la position de la France dans l'Alliance. Il a précisé qu'il n'était pas a priori hostile à une telle modification, dès lors que le rôle de l'OTAN est préalablement redéfini et que l'existence d'un pilier européen disposant d'une réelle autonomie en matière de défense est ...
a rappelé que l'un des arguments avancés par le Président de la République en faveur d'une participation pleine et entière de la France aux structures de commandement de l'OTAN était qu'une modification de la position française lèverait les obstacles au développement de la PESD. Or il a constaté qu'en ce domaine, aucun progrès significatif n'était perceptible.
a regretté que la compression des coûts des industries d'armement, pour légitime qu'elle soit, ait des retombées négatives pour le tissu industriel des régions concentrant ces industries, comme l'Aquitaine. Il s'est dit surpris de la différence de volontarisme manifesté par la ministre à l'égard de l'OTAN et de l'Union européenne. Il a enfin souhaité connaître le sentiment de Mme Michèle Alliot-Marie sur le contenu optimal de la prochaine loi de programmation militaire.