4 interventions trouvées.
s'est félicité de l'ouverture de l'audition à l'ensemble des sénateurs. Il a considéré important de ne pas donner l'impression que l'Etat serait seul en cause alors que les « prédateurs » sont en l'espèce des investisseurs privés. Il s'est réjoui de l'intervention de la Caisse des dépôts et consignations pour acquérir des actions EADS. Observant que les dirigeants de la SOGEADE et d'EADS, en particulier M. Noël Forgeard, avaient menti et induit en erreur la Caisse des dépôts et consignations, il a souhaité connaître les recours dont celle-ci disposait.
s'est félicité de l'ouverture de l'audition à l'ensemble des sénateurs. Il a considéré important de ne pas donner l'impression que l'Etat serait seul en cause alors que les « prédateurs » sont en l'espèce des investisseurs privés. Il s'est réjoui de l'intervention de la Caisse des dépôts et consignations pour acquérir des actions EADS. Observant que les dirigeants de la SOGEADE et d'EADS, en particulier M. Noël Forgeard, avaient menti et induit en erreur la Caisse des dépôts et consignations, il a souhaité connaître les recours dont celle-ci disposait.
...ions de MM. Thierry Breton, Luc Rémont, Denis Samuel-Lajeunesse et Bruno Bézard. Il s'est toutefois étonné de ce que, lors de la rencontre précitée entre M. Thierry Breton et les dirigeants des groupes Lagardère et DaimlerChrysler, ceux-ci n'aient justifié leur intention de céder des participations que par la volonté de recentrage de leurs maisons-mères, et non par les difficultés rencontrées par EADS. Il a estimé que, dans le cas où l'instruction de l'AMF actuellement en cours révèlerait leur connaissance, à cette époque, des difficultés d'EADS, cela montrerait qu'ils avaient menti à M. Thierry Breton lors de cette rencontre.
a observé qu'il lui aurait semblé naturel que M. Thierry Breton, mis au courant de la décision de vente de deux actionnaires stratégiques d'EADS, pose la question des motivations de cette vente.