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Monsieur le président, madame la ministre, mes chers collègues, si le mot « inondation » est, pour beaucoup, associé aux adjectifs « subite », « ponctuelle » et « aléatoire», il est inscrit, pour d’autres, en filigrane de la plupart des volets de la vie publique locale. Les travaux de la mission commune d’information ont permis de le souligner : eu égard à l’ampleur et à la récurrence de l’aléa, les habitants du département du Gard, du représentant de l’État au citoyen, de l’élu l...
Nous avons connu les inondations de 2002, de 2004 et surtout, celles de 1988, plus graves encore. Le PAPI signé pour la période 2008-2013 représente 125 millions d'euros dont la moitié est prise en charge par la ville de Nîmes. Or je constate que les services de l'Etat nous imposent d'importantes contraintes en dépit des travaux réalisés. Nous devons faire face à d'importants flux de population. Ainsi les préfets nous demandent...
Nous avons connu les inondations de 2002, de 2004 et surtout, celles de 1988, plus graves encore. Le PAPI signé pour la période 2008-2013 représente 125 millions d'euros dont la moitié est prise en charge par la ville de Nîmes. Or je constate que les services de l'Etat nous imposent d'importantes contraintes en dépit des travaux réalisés. Nous devons faire face à d'importants flux de population. Ainsi les préfets nous demandent...
Si les membres du corps préfectoral ont reçu une formation, ils ne sont souvent que de passage, alors que les risques diffèrent d'un département à un autre. Celui qui connaît le mieux le terrain demeure le maire. Parallèlement aux outils modernes qui ont été évoqués, il en est d'autres plus faciles à mettre en place. Maire de Nîmes, ville qui a connu des inondations très importantes en 1988 et en 2002, je connais les chemins et les voies susceptibles d'être envahis par l'eau, ce qui m'a conduit, outre des barrières, à mettre en place de batardeaux. On peut rapidement mettre en place ces petites mesures. Les maires sont naturellement en première ligne, mais certains manquent de formation. Selon les cas, on peut ou non construire ; parfois, il faut des pilot...
Si les membres du corps préfectoral ont reçu une formation, ils ne sont souvent que de passage, alors que les risques diffèrent d'un département à un autre. Celui qui connaît le mieux le terrain demeure le maire. Parallèlement aux outils modernes qui ont été évoqués, il en est d'autres plus faciles à mettre en place. Maire de Nîmes, ville qui a connu des inondations très importantes en 1988 et en 2002, je connais les chemins et les voies susceptibles d'être envahis par l'eau, ce qui m'a conduit, outre des barrières, à mettre en place de batardeaux. On peut rapidement mettre en place ces petites mesures. Les maires sont naturellement en première ligne, mais certains manquent de formation. Selon les cas, on peut ou non construire ; parfois, il faut des pilot...
A Nîmes, depuis l'inondation du 3 octobre 1988, nous avons entrepris des travaux importants auxquels nous consacrons chaque année 20 millions d'euros : extra muros, avec les retenues collinaires destinées à stocker l'eau en amont et à la déverser ensuite plus lentement vers le sud, et intra muros, avec de gros tuyaux qui traversent la ville. Des travaux sont en cours jusqu'à la fin de l'année, et je vous invite à visiter ce ...
A Nîmes, depuis l'inondation du 3 octobre 1988, nous avons entrepris des travaux importants auxquels nous consacrons chaque année 20 millions d'euros : extra muros, avec les retenues collinaires destinées à stocker l'eau en amont et à la déverser ensuite plus lentement vers le sud, et intra muros, avec de gros tuyaux qui traversent la ville. Des travaux sont en cours jusqu'à la fin de l'année, et je vous invite à visiter ce ...
Lors des discussions avec le préfet du Gard sur le plan de prévention du risque inondation (PPRI), des mécontentements se sont exprimés sur la délimitation des zones, mais le plan pourrait être révisé après achèvement des travaux à l'ouest de Nîmes.
Lors des discussions avec le préfet du Gard sur le plan de prévention du risque inondation (PPRI), des mécontentements se sont exprimés sur la délimitation des zones, mais le plan pourrait être révisé après achèvement des travaux à l'ouest de Nîmes.