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... notamment s’agissant du temps de travail. D’autre part, d’après les informations qui nous sont remontées, le recrutement par les collectivités, pour participer aux activités complémentaires prévues à l’article L. 216-1 ou aux activités organisées en dehors du temps scolaire dans les écoles et les établissements d’enseignement, n’apparaît pas satisfaisant pour le développement de l’autonomie des élèves handicapés en contact avec le même AESH pendant le temps scolaire et en dehors pour d’autres activités. Monsieur le ministre, vous avez avancé des arguments qui n’allaient pas en ce sens. Mais je tiens à faire part des retours que nous avons eus.
...e et à votre sincérité. Cela dit, la création de ces PIAL n’a donné lieu à aucune étude d’impact, ni à aucun avis du Conseil d’État. On peut également déplorer la situation des AESH – elle a été évoquée. Le mode de déploiement des PIAL au sein des écoles, notamment en milieu rural, n’a pas été précisé, alors que les temps de trajet entre plusieurs écoles risquent d’affecter l’accompagnement des élèves en situation de handicap et de renforcer la précarité des AESH.
... l’éducation à la nature, à la vie de la Terre et à la biodiversité passe par la mise en place de jardins botaniques et potagers dans les écoles alimentaires… §Le lapsus est révélateur : je voulais évidemment parler des écoles élémentaires ! La mise en place de tels jardins est un outil utile pour la sensibilisation et l’éducation à l’alimentation durable et à la biodiversité. Ils permettent aux élèves de redonner une valeur à leur alimentation et d’être sensibilisés au gaspillage alimentaire et à l’alimentation locale et durable, ainsi qu’à ce qui fait la vie de la Terre. Je reprends ici l’une des recommandations de la mission sénatoriale d’information sur le développement de l’herboristerie et des plantes médicinales. Ce sous-amendement tend à obliger les écoles à créer des jardins botaniq...