Photo de Laurence Cohen

Interventions sur "pathologie" de Laurence Cohen


4 interventions trouvées.

...û mal formuler ma question car votre réponse ne correspond pas à mes interrogations. Je ne parlais pas la visibilité du système ou la lisibilité par les professionnels. Comme vous le disiez, c'est un dispositif qui existe depuis très longtemps, donc les professionnels anciens le connaissent, et les nouveaux s'adaptent. Je vais donc reformuler. Quand un patient est pris en charge en ALD pour une pathologie, cela entraîne des conséquences comme des dégradations de la santé, y compris des effets secondaires de certains traitements. Cela induit des visites chez le médecin pour d'autres pathologies, qui ne rentrent pas obligatoirement dans celle qui est encadrée par l'ALD, mais en sont pourtant totalement dépendantes. Quand le médecin traitant élargit en considérant que c'est un trouble direct ou indir...

...x qui sont opposés aux GHT s'ils ne reposent pas sur un projet médical partagé. Malheureusement, c'est rarement le cas. Nuançons donc nos propos. Le grand problème actuel de l'hôpital tient au peu de lits en aval : peut-on dire la même chose pour la psychiatrie ? Vous estimez que certains adolescents restent trop longtemps dans ces lits mais pourquoi ne pas créer des centres adaptés à certaines pathologies ? Devrait-il s'agir de centres spécialisés ou de centres plus généralistes qui traiteraient diverses pathologies mais avec des équipes pluridisciplinaires ? Pr Jean-Philippe Raynaud. - Je parlerai plutôt de deuxième virage ambulatoire. Le premier date des années 1970 avec la création des secteurs et la volonté, que je partage, de sortir les malades mentaux, a fortiori les enfants et les adoles...

...l faut aussi se pencher sur la reconnaissance des psychologues. Il existe aujourd'hui une véritable difficulté dans ce secteur, et une vraie souffrance de ces professionnels. J'ai cru comprendre que l'une de mes collègues estime que les structures sont trop nombreuses. Je ne le crois pas ! On a fermé énormément d'établissements qui n'ont pas été obligatoirement remplacés, et on a aujourd'hui des pathologies très diverses dans ces mêmes établissements, ce qui ne devrait pas être le cas, me semble-t-il. À tout le moins, il faudrait que les établissements soient plus diversifiés et dirigés différemment pour pouvoir accueillir toutes ces pathologies. Il faut que ces structures s'adaptent aux différentes pathologies et recourent des équipes pluridisciplinaires extrêmement pointues.

...is au-delà desquels les personnes ayant souffert d’un cancer ne pourront plus se voir appliquer ni des exclusions de garanties ni des majorations de tarifs. Le présent amendement vise à préciser les délais fixés par l’avenant à la convention signé le 2 septembre dernier. D’abord, nous vous proposons d’établir le délai maximal pour accorder le droit à l’oubli aux personnes ayant été atteintes de pathologies cancéreuses à dix ans, au lieu de quinze ans. En effet, les études menées sur le taux de survie des personnes atteintes de cancer à l’horizon de cinq ou dix ans concluent que les récidives surviennent le plus souvent pendant les premières années. Ensuite, l’amendement tend à accorder à l’ensemble des mineurs le droit à l’oubli cinq ans au maximum après la fin des traitements. Le protocole d’acc...