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...i pourraient aboutir – nous le savons tous – à une poussée des populistes au Parlement européen. Dans ce contexte, le Conseil européen, qui définit les grands axes de la politique de l'Union européenne, doit poursuivre son action au service de tous les Européens pour la paix, la sécurité et la prospérité de notre continent. Comme l'a rappelé le Président de la République, la situation évolue en Ukraine à grande vitesse et pas dans le bon sens. C'est pourquoi l'adoption par le Sénat et l'Assemblée nationale de l'accord de sécurité entre la France et l'Ukraine, la semaine dernière, a été un acte fondamental. C'est pourquoi, aussi, l'action de l'Europe est indispensable. La passivité n'est plus de mise. Nous ne pouvons pas nous contenter de ne pas agir. Ces deux dernières années, l'Union européen...
... portés à 22, 5 milliards d'euros. Bien sûr, nous sommes également inquiets des répercussions sur les contributions nationales de ces crédits, notamment sur la nôtre. Madame la secrétaire d'État, pouvez-vous nous communiquer la position de la France et les lignes rouges que notre pays s'est fixées à cet égard ? Le second sujet qui nous préoccupe est l'ouverture des négociations d'adhésion de l'Ukraine, dont il a déjà beaucoup été question ce soir. Les membres de notre groupe croient résolument en une « Europe puissance », donc en une Europe approfondie, comme nous l'appelons de nos vœux. Ce sujet soulève la question de la réforme du processus d'élargissement. Madame la secrétaire d'État, comment appréhendez-vous les négociations sur l'Ukraine ? Plus spécifiquement, quelle est la position de...
Ma question s'adresse à M. Giuliani et concerne la politique française par rapport à l'Ukraine, d'une part, et par rapport à la Russie, d'autre part. La première n'allant en principe pas sans l'autre, il faut une cohérence entre les deux. M. Giuliani a fait une allusion à la politique française à l'égard de la Russie, en disant qu'elle pourrait être plus claire. Pourrait-il développer ?