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Interventions sur "vaccin" de Marie-Christine Blandin


24 interventions trouvées.

Se référant aux pressions exercées sur le CTV pour élargir la cible de vaccination contre la grippe saisonnière, Mme Marie-Christine Blandin a demandé si, pour les futures campagnes de vaccination contre la grippe saisonnière, M. Christian Perronne s'attendait de nouveau à des messages des laboratoires invitant à élargir la cible de cette vaccination ?

Se référant aux pressions exercées sur le CTV pour élargir la cible de vaccination contre la grippe saisonnière, Mme Marie-Christine Blandin a demandé si, pour les futures campagnes de vaccination contre la grippe saisonnière, M. Christian Perronne s'attendait de nouveau à des messages des laboratoires invitant à élargir la cible de cette vaccination ?

a ensuite demandé pourquoi la France n'avait pas renoncé à administrer deux doses de vaccin avant la recommandation de l'agence européenne. Pourquoi ne pas avoir suivi le CDC d'Atlanta, qui avait constaté dès le 15 septembre 2009 l'inutilité d'une double vaccination ?

a ensuite demandé pourquoi la France n'avait pas renoncé à administrer deux doses de vaccin avant la recommandation de l'agence européenne. Pourquoi ne pas avoir suivi le CDC d'Atlanta, qui avait constaté dès le 15 septembre 2009 l'inutilité d'une double vaccination ?

a enfin relevé que M. Christian Perronne avait qualifié de « délires » certains arguments utilisés contre les adjuvants ou conservateurs des vaccins. Peut-on appliquer ce terme au Thiomersal, alors que le site de l'AFSSAPS avait à une certaine époque recommandé l'éradication complète de ce produit dans les vaccins ?

a enfin relevé que M. Christian Perronne avait qualifié de « délires » certains arguments utilisés contre les adjuvants ou conservateurs des vaccins. Peut-on appliquer ce terme au Thiomersal, alors que le site de l'AFSSAPS avait à une certaine époque recommandé l'éradication complète de ce produit dans les vaccins ?

a demandé si les arguments de ceux qui justifiaient le recours à une alerte de niveau 6 comme une nécessité légale pour lancer la production de vaccins et les campagnes publiques de vaccination étaient recevables.

a demandé si les arguments de ceux qui justifiaient le recours à une alerte de niveau 6 comme une nécessité légale pour lancer la production de vaccins et les campagnes publiques de vaccination étaient recevables.

a estimé que si les épidémiologistes n'intéressaient pas les laboratoires, comme l'a indiqué M. Roger Salamon, le « bruit de fond » de l'épidémiologie a eu un impact important sur la commande excessive des vaccins. Elle a demandé pourquoi les maillons sensibles de la transmission virale que sont les éleveurs de porcs et de volailles, premiers confrontés au risque de réassortiment génétique d'un virus grippal, n'avaient pas été inclus dans les populations à risque.

a estimé que si les épidémiologistes n'intéressaient pas les laboratoires, comme l'a indiqué M. Roger Salamon, le « bruit de fond » de l'épidémiologie a eu un impact important sur la commande excessive des vaccins. Elle a demandé pourquoi les maillons sensibles de la transmission virale que sont les éleveurs de porcs et de volailles, premiers confrontés au risque de réassortiment génétique d'un virus grippal, n'avaient pas été inclus dans les populations à risque.

...s pandémies, à partir de l'exemple du virus A (H1N1), elle a fait partie d'une délégation de parlementaires qui a rencontré une dizaine de médecins généralistes de l'Union régionale des médecins libéraux de la Réunion. Leurs observations figureront dans le rapport de l'OPECST. Elle a indiqué qu'en Guyane, à Saint-Laurent-du-Maroni, les jeunes personnes recrutées pour participer aux opérations de vaccination étaient toutes exclusivement francophones et avaient donc rencontré des problèmes pour se faire comprendre des Guyanais qui parlaient les langues locales et ne pouvaient répondre à des questions posées en français, ce qui est un bon exemple de « parachutage » d'un dispositif inadéquat et inadapté à la réalité de l'Outre-mer.

...s pandémies, à partir de l'exemple du virus A (H1N1), elle a fait partie d'une délégation de parlementaires qui a rencontré une dizaine de médecins généralistes de l'Union régionale des médecins libéraux de la Réunion. Leurs observations figureront dans le rapport de l'OPECST. Elle a indiqué qu'en Guyane, à Saint-Laurent-du-Maroni, les jeunes personnes recrutées pour participer aux opérations de vaccination étaient toutes exclusivement francophones et avaient donc rencontré des problèmes pour se faire comprendre des Guyanais qui parlaient les langues locales et ne pouvaient répondre à des questions posées en français, ce qui est un bon exemple de « parachutage » d'un dispositif inadéquat et inadapté à la réalité de l'Outre-mer.

a souhaité savoir s'il y avait eu une obtention tardive, ou un refus d'AMM, pour le vaccin Emerflu.

s'est associée à cette demande et a souhaité savoir à quoi correspondaient exactement les 9,8 millions de doses détenues par l'EPRUS. Combien de doses ont été utilisées ? Y a-t-il eu des retours de vaccins livrés ?

s'est associée à cette demande et a souhaité savoir à quoi correspondaient exactement les 9,8 millions de doses détenues par l'EPRUS. Combien de doses ont été utilisées ? Y a-t-il eu des retours de vaccins livrés ?

a posé des questions sur le montant du crédit d'impôt recherche correspondant aux travaux de recherche-développement mené par GSK sur le vaccin H1N1, et sur les conditions dans lesquelles étaient organisés des contacts entre les représentants de GSK et l'OMS. Elle a également voulu savoir si le vaccin pandémique H1N1 de GSK, qui est un vaccin adjuvanté, pourrait être utilisé pour une vaccination saisonnière.

a posé des questions sur le montant du crédit d'impôt recherche correspondant aux travaux de recherche-développement mené par GSK sur le vaccin H1N1, et sur les conditions dans lesquelles étaient organisés des contacts entre les représentants de GSK et l'OMS. Elle a également voulu savoir si le vaccin pandémique H1N1 de GSK, qui est un vaccin adjuvanté, pourrait être utilisé pour une vaccination saisonnière.

a demandé si les membres du CLCG avaient conduit une réflexion sur la manière dont les Français recevaient les messages liés à la vaccination. Une telle approche a été conduite aux Etats-Unis et a amené les autorités à ne pas recourir aux adjuvants en raison des réticences de l'opinion publique.

a demandé si les membres du CLCG avaient conduit une réflexion sur la manière dont les Français recevaient les messages liés à la vaccination. Une telle approche a été conduite aux Etats-Unis et a amené les autorités à ne pas recourir aux adjuvants en raison des réticences de l'opinion publique.