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...ersonnels de l’éducation nationale : 34 % d’entre eux sont concernés, dont 5 % partent avec une décote de moins de 5 %. Ce départ avant d’avoir atteint le taux plein est bien sûr lié à l’impossibilité de partir en cours d’année scolaire. Il doit aussi nous conduire à nous interroger plus largement sur la nécessité d’améliorer les conditions de travail de nos enseignants et d’aménager leur fin de carrière. J’invite d’ailleurs le Gouvernement à se saisir de ces questions, en lien avec les partenaires sociaux.
Je voterai ces amendements, car il est important de mieux prendre en compte les carrières hachées, qui touchent principalement les femmes. Je reviendrai sur les propos de Mme la présidente de la délégation aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes. En tant qu’élue rurale, je souhaitais justement que nous nous penchions sur l’inégalité entre les femmes et les hommes ainsi que sur la place des femmes en ruralité. Ce rapport a mis en lumière l’ex...
...aisse de l'enveloppe destinée à cette formation, alors même que le nombre d'AESH doit augmenter de 4 000 cette année. Comment expliquez-vous ce paradoxe ? Vous avez parlé de 2 000 euros net pour ceux qui débutent dans le métier d'enseignant. Est-ce net ou primes incluses ? Pour les enseignants, une prime n'est pas une augmentation du point d'indice. Cela n'a rien à voir. Vous ciblez le début de carrière, mais cela risque d'en décourager certains, la hors classe venant très tard dans la carrière des enseignants. Quelle marge de manoeuvre avez-vous au regard de l'évolution des crédits programmés pour la mission dans les prochaines années ? Les montants prévus permettront-ils vraiment de connaître une montée en puissance de cette revalorisation ?