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Ainsi en a décidé le sort ! Le registre des acteurs d'influence étrangère ? Très bien. Les techniques algorithmiques ? Très bien. Le gel des avoirs ? Encore mieux ! Le renforcement du dispositif pénal ? Parfait !
...uite d’une main de maître par Éliane Assassi et Arnaud Bazin, que l’Assemblée nationale a complètement vidé de sa substance, sera soumis au Sénat en seconde lecture. Nous serons nombreux à veiller à revenir au texte initial de notre assemblée. J’espère, monsieur le ministre, que vous manifesterez alors la même bonne volonté que celle dont vous faites preuve aujourd’hui pour limiter les influences étrangères lors de l’examen de ce texte extrêmement important. Car les cabinets-conseils sont également des outils d’influence et d’ingérence, comme l’ont très bien montré les travaux de la commission d’enquête sénatoriale. Se posera également la question des budgets et des moyens humains que le Gouvernement consacrera à la mise en place des dispositifs. Quoi qu’il en soit, l’ensemble du groupe Union Cen...
Peut-être pourrions-nous organiser des tables rondes avec les représentants des ambassades étrangères, avec les représentants d'universités européennes ?
...ec le sujet précédent, de l’application d’un double standard : la plus grande fermeté à l’égard des uns, la plus grande lâcheté envers les autres. Mais, ce faisant, monsieur le ministre, je ne ferais que répéter ce qui a déjà été dit, pour ne pas dire rabâcher. J’ai donc choisi un thème qui pourrait me donner l’occasion de vous proposer une innovation dans les relations du ministère des affaires étrangères avec le Parlement. En effet, ce ministère n’est pas comme les autres : il porte la voix de la France, et les parlementaires qui s’intéressent à la politique étrangère, qui voyagent et sont appelés à la commenter savent, ou devraient savoir, que la France ne doit parler que d’une seule voix. Je suis volontiers iconoclaste, on le sait, mais pas en cette matière. Nous pouvons avoir des divergence...
... de principe, la France n’entretient naturellement aucune relation avec les autorités de facto du Haut-Karabakh, et cette entité autoproclamée ne dispose d’aucune représentation accréditée auprès du Gouvernement français. Vous pourriez très bien communiquer ces éléments, comme autant d’éléments de langage, à nos collègues parlementaires qui ne font pas partie de la commission des affaires étrangères, mais qui s’intéressent à ce sujet. La France copréside le groupe de Minsk et, même si le sujet n’est pas très médiatique, il me semble important que chacun soit informé de ce qui se passe dans ces territoires, d’autant que, en 2010, les négociations sont entrées dans une phase difficile, avec, semble-t-il, une certaine intransigeance du côté arménien, accompagnée, parallèlement, d’un raidissem...
...e dans son agenda pour tenir cette promesse ? Ensuite, quelle est la place réservée au conflit du Nagorno-Karabakh dans l’ordre du jour chargé du G20 et du G8 ? Enfin, lorsque Mme Alliot-Marie était ministre de l’intérieur, elle s’était engagée à assurer le « service après-vente » de la loi interdisant la dissimulation du visage dans l’espace public et à prendre l’attache du ministre des affaires étrangères de façon que ce texte fût expliqué dans les pays du Maghreb et les pays arabes : où en est-on sur ce point ?