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Interventions sur "don" de Ronan Dantec


7 interventions trouvées.

Il y aurait beaucoup à dire, monsieur le président… Je retiens tout d’abord de la présentation de Mme la secrétaire d’État que la volonté du Gouvernement est de revenir au texte initial. Cela nous donne une idée de la manière dont le Gouvernement envisage la CMP. Par ailleurs, en tant que représentant du « parti breton », je veux redire ici à quel point la Bretagne s’est tiré une balle dans le pied avec les « bonnets rouges ». Je rappelle tout de même que la crise de l’écotaxe a été suivie d’une augmentation du prix du gazole partout. Les Bretons paient donc plus proportionnellement aujourd’...

...e courage politique de la part du Gouvernement de l’époque ; je crois, mes chers collègues, que l’on peut le dire. Et depuis lors, on tourne en rond pour essayer de trouver une solution. Le rapport de M. Tirole, qui n’est pas exactement un écologiste ou un gauchiste, dresse un constat très clair : face à l’urgence, il n’y a pas d’autre solution que d’augmenter le prix de tout ce qui émet du CO2, dont le transport routier. Évidemment, on ne peut pas attendre 2028. Le rapport du GIEC est très clair là-dessus : il faut avancer beaucoup plus vite sur les mutations. C’est pourquoi nous allons voter l’amendement de M. Jacquin. De toute façon, nous avons compris que, de toute manière, le Gouvernement ne conserverait pas le travail du Sénat. Et même si nous reconnaissons tous la qualité du travail ...

...européens, qui sont notamment gérés par les régions. Or on ne voit pas où est l’articulation entre le plan de relance européen, ses déclinaisons nationales et le rôle absolument clé des collectivités territoriales en termes d’investissements. Très concrètement, comment allez-vous articuler les priorités de ce plan de relance avec les futurs contrats de relance et de transition écologique (CRTE), dont le Premier ministre a assuré la promotion ? Les collectivités ne le savent pas ! L’Association française du Conseil des communes et régions d’Europe (AFCCRE), laquelle rassemble nombre de nos collectivités et des élus de toutes obédiences politiques, et qui est en général assez modérée, vient d’ailleurs de vous alerter dans un communiqué assez ferme : elle considère anormal que les collectivité...

...lématiques environnementales leur permettra de développer des arguments précis et pointus sur un sujet qui les intéresse au premier chef, puisqu’il s’agit de leur avenir et de celui de la société dans laquelle ils vivront. La question de l’intégration des grands enjeux de développement durable et d’environnement au sein des programmes de l’éducation nationale est au cœur du débat de société, qui donne lieu à de nombreuses prises de parole, notamment de la part de scientifiques. Il s’agit non pas de rajouter des heures de cours, mais de renforcer l’enseignement de la technologie, alors que l’on peine à revaloriser les métiers techniques et manuels. Mettre ces derniers au cœur des enjeux de demain, c’est aussi les rendre plus attractifs L’adoption de ces amendements enverrait un signal positif...

...ble parle-t-on ? C’est extrêmement vague. Considérant, comme vous l’avez vous-même dit précédemment, qu’il faut faire les choses le plus simplement possible, nous vous proposons la formulation suivante, plus claire : « Les producteurs, importateurs et distributeurs de produits non alimentaires neufs sont tenus de réemployer, de réutiliser ou de recycler leurs invendus, à l’exception des produits dont la valorisation matière est interdite, dont l’élimination est prescrite ou dont le réemploi, la réutilisation et le recyclage comportent des risques sérieux pour la santé ou la sécurité ».

Cet amendement a fait l’objet d’échanges avec Mme la rapporteure. Il tend à renforcer et à mieux articuler lutte contre le gaspillage et solidarité dans le présent projet de loi. L’objectif est que les producteurs fassent systématiquement don de leurs invendus de produits non alimentaires neufs à des associations caritatives.

...ontribution. Mais ces contributions nous mettent sur un scénario de 3°, ce qui n'est pas acceptable. Le Président de la République a fixé la première évaluation en 2018, lors du débat entre les parties. En 2020, les contributions ne seront pas celles qui sont sur la table aujourd'hui : elles auront été réévaluées. De nouveaux rendez-vous auront lieu en 2023, puis en 2025. Les réévaluations seront donc permanentes. Les acteurs non-étatiques devront travailler avec les parties : deux « champions », la France et le Maroc, organiseront le dialogue avec les acteurs non-étatiques, comme les villes, les entreprises ou les ONG. L'ONU va analyser toutes les expériences pour distinguer les meilleures. La France et le Maroc se sont engagés à renforcer l'agenda des solutions avec le plan d'action Lima-...