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...eil de l'éducation, par d'autres organismes encore. Le constat est toujours le même, on observe les mêmes noeuds du problème : redoublement, problèmes sociaux, missions des maîtres, carte scolaire, horaires... Je crois qu'il faudrait se pencher sur un autre point : comment est organisé le cursus scolaire ? L'entrée en maternelle ? Une rupture. Après la maternelle ? Rupture. Après cinq ans d'école primaire, rupture encore. L'enfant arrive alors au collège, ou plutôt entre dans le premier cycle du lycée ! Nouvelle rupture. Au lieu de découper le parcours en années, pourquoi ne pas songer à des semestres ou à d'autres formules ? Les pays aujourd'hui montrés en exemple ne répartissent pas les dix années de scolarité obligatoire de la même manière que nous.
...eil de l'éducation, par d'autres organismes encore. Le constat est toujours le même, on observe les mêmes noeuds du problème : redoublement, problèmes sociaux, missions des maîtres, carte scolaire, horaires... Je crois qu'il faudrait se pencher sur un autre point : comment est organisé le cursus scolaire ? L'entrée en maternelle ? Une rupture. Après la maternelle ? Rupture. Après cinq ans d'école primaire, rupture encore. L'enfant arrive alors au collège, ou plutôt entre dans le premier cycle du lycée ! Nouvelle rupture. Au lieu de découper le parcours en années, pourquoi ne pas songer à des semestres ou à d'autres formules ? Les pays aujourd'hui montrés en exemple ne répartissent pas les dix années de scolarité obligatoire de la même manière que nous.
Après le primaire, l'élève n'entre pas en première année de collège mais en sixième : cela en dit long. A l'étranger, on ne comprend rien à cette façon de compter à l'envers.
Après le primaire, l'élève n'entre pas en première année de collège mais en sixième : cela en dit long. A l'étranger, on ne comprend rien à cette façon de compter à l'envers.
L'école est un sujet qui dépasse les clivages politiques, et c'est donc très librement que je m'adresse aux responsables de l'institut Montaigne. Environ 300 000 élèves quittent l'école primaire sans savoir correctement lire, écrire ni compter. Vous êtes-vous interrogés sur l'origine socioprofessionnelle de ces élèves et sur la proportion d'entre eux dont la langue maternelle n'est pas le français ? Ne faudrait-il pas cesser de considérer le passage en sixième comme une rupture ? Ce n'est peut-être pas si grave de sortir de l'école primaire avec des lacunes, puisque la scolarité obliga...
Dans un propos liminaire, M. Yannick Bodin a demandé au ministre de dispenser les sénateurs du discours, à ses yeux récurrent, sur les moyens de l'éducation nationale l'exhortant à définir la politique qu'il entend mener et à en faciliter l'évaluation. Puis, il a posé les questions suivantes : - la réforme de l'école primaire et notamment la suppression de la classe le samedi a-t-elle entrainé une baisse du niveau des élèves ne bénéficiant pas des deux heures par semaine d'aide personnalisée ? - un abaissement de l'âge de la scolarité obligatoire de six à trois ans est-il envisagé ? - existe-t-il un bilan quantitatif de l'assouplissement de la carte scolaire mais aussi qualitatif, notamment en termes de mixité socia...
...ion de simples projets, qui ne tiennent en aucun cas compte des résultats des concertations engagées. Par ailleurs, au-delà du simple souci de réécrire les programmes dans une langue claire, qui fait sans aucun doute consensus, la nécessité d'engager une telle réforme pose question, dès lors que les programmes de 2002 n'ont pas encore été évalués, faute d'élèves arrivés au terme de leur scolarité primaire sous leur empire. Enfin, pour qui s'attache aux textes mêmes, la primarisation de l'école maternelle semble indiscutable.