Les amendements de Philippe Adnot pour ce dossier
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M. Philippe Adnot. Les membres de la réunion des non-inscrits voteront pour la motion, moi excepté. En effet, que les motions soient déposées par la gauche ou par la droite, je ne peux pas concevoir qu’une assemblée parlementaire s’autolimite dans sa capacité à examiner un texte !
Je souhaite m’assurer que, même si des enseignements ont été dispensés dans une langue étrangère, le diplôme ne pourra pas être accordé en l’absence d’une parfaite connaissance de la langue française. Autrement dit, il ne suffit pas de prévoir l’obligation pour les étudiants étrangers de suivre des cours en français : il faut aussi que l’obtent...
Je considère que, après l'intervention de Mme la ministre et de Mme André, cet amendement est satisfait. Je n’ai d'ailleurs pas très bien compris pourquoi il a reçu deux avis défavorables alors que, d'une certaine manière, des dispositions ont été prises qui vont dans le même sens. Quoi qu’il en soit, j’exprime ma gratitude et je retire mon ame...
M. Philippe Adnot . Tout à fait, monsieur le président, à tel point que j’ai craint un instant que l’enseignement supérieur ne soit désormais aux mains des femmes !
Madame la ministre, je connais votre parcours et celui des personnes qui vous entourent. Il mérite le respect et la sympathie. C’est donc dans un état d’esprit positif que j’aborde cette discussion, malgré, je dois le dire, un certain sentiment de malaise. Je ne parlerai pas des cours en anglais, qui existent déjà et qui sont nécessaires. Mais...
J’en viens ensuite à la gouvernance, élément essentiel de l’autonomie et de la réussite des universités. Nous avons échappé, grâce à votre travail, au double pouvoir, celui du président d’université contre celui du président du conseil académique. Mais il reste à garantir aux établissements qui participeront aux communautés la capacité d’être p...
… qui n’a jamais été appliqué, soit, enfin, mis en œuvre sur un périmètre élargi. Faute de récompenser la marche vers l’excellence, le système universitaire ne connaîtra pas d’amélioration qualitative. Dans le cadre de mon rapport, j’ai chiffré à 1 milliard d’euros la somme nécessaire au rattrapage des dotations pour les universités sous-dotée...