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On ne peut pas accepter le procès d’intention qui est fait à Michel Canévet et aux membres de la commission des finances. Alors que nous devrions nous efforcer de rétablir l’équilibre des comptes publics, notre irresponsabilité collective nous conduit à charger la barque pour les générations futures ! §L’on peut certes estimer que ce n’est pas...
On ne peut pas accepter le procès d’intention qui est fait à Michel Canévet et aux membres de la commission des finances. Alors que nous devrions nous efforcer de rétablir l’équilibre des comptes publics, notre irresponsabilité collective nous conduit à charger la barque pour les générations futures ! §L’on peut certes estimer que ce n’est pas...
Nous souhaitons mettre en avant les militaires qui exercent dans le cadre très particulier de la protection civile. Il s’agit des sapeurs-pompiers de Paris et des marins-pompiers de Marseille, qui forment deux corps d’élite spécifiques, dont l’expertise et le professionnalisme sont reconnus par tous. L’armée de terre utilise une logique de rég...
J’entends vos propos, monsieur le ministre. J’avais proposé ces trois territoires pour prépositionner des unités, en complémentarité avec ceux que je cite dans d’autres amendements. Mais je retire celui-ci.
Les 2 % du PIB alloués à la défense découlent d’une décision prise en 2014 à Cardiff lors du sommet de l’Otan. Il s’agit d’un curseur. Monsieur le ministre, vous avez bien fait de rappeler que cet effort de défense devait être contextualisé : il ne se réduit pas uniquement à des aspects financiers ; il convient d’y ajouter la nature et la stru...
Il me semble donc important de maintenir cette trajectoire.
Même si nous faisons un focus actuellement sur l’Ukraine – et cette LPM en tient compte –, il ne faut pas perdre de vue que les conflictualités de demain seront très certainement maritimes. Elles se dérouleront dans les océans, pour plusieurs raisons. D’une part, si les frontières terrestres sont à peu près partout bien établies, c’est loin d’...
Cet amendement, comme d’autres qui suivront, a trait à nos forces de souveraineté. Lors de la discussion générale, j’ai dit combien nous avions eu une déflation des effectifs en matière de forces de souveraineté, ce qui a eu des conséquences en termes d’affichage. Nous avons vu les difficultés rencontrées par nos forces de présence et la façon...
Ce que je propose en l’espèce concerne effectivement la Guadeloupe, de Mayotte et de la Polynésie, mais je présenterai ensuite d’autres amendements ayant objet pour objet de renforcer nos moyens, notamment maritimes ou aériens, dans d’autres territoires. Il s’agissait, si je puis m’exprimer ainsi, de rétablir un équilibre. Je rappelle par aill...
Monsieur le ministre, vous l’avez toujours dit, et c’est une position constante de la France : il faut veiller à ce que nous puissions remplir un certain nombre de missions, notamment pour faire respecter le droit international et la liberté de navigation. Le détroit de Taïwan est une zone du globe où cette question est très sensible. La Franc...
Non, je le retire, madame la présidente. Monsieur le ministre, les enjeux relatifs au prépositionnement et ceux qui concernent le niveau des menaces pouvant peser sur nos outre-mer sont deux questions différentes. Je proposais au travers de cet amendement d’inscrire un tel prépositionnement dans le cadre d’une stratégie dans l’Indo-Pacifique,...
Cet amendement concerne les éléments de surveillance intéressant notre ZEE et la préservation de notre souveraineté, notamment dans les outre-mer. Nous savons que le nombre de patrouilleurs est largement insuffisant, et nos besoins à cet égard sont à peine couverts. L’amendement vise à prévoir une étude complémentaire sur le nombre de patrouil...
Le contrat opérationnel, tel qu’il est fixé aujourd’hui, stipule que, tous les trois ans, la marine nationale doit patrouiller dans la zone économique de l’île de La Passion-Clipperton, laquelle s’étend sur 436 000 kilomètres carrés ; elle est plus importante que celle de l’Hexagone – Corse comprise –, qui représente 345 000 kilomètres carrés. ...
… en attendant l’installation d’une base scientifique sur cette île.
Monsieur le ministre, vous l’avez toujours dit, et c’est une position constante de la France : il faut veiller à ce que nous puissions remplir un certain nombre de missions, notamment pour faire respecter le droit international et la liberté de navigation. Le détroit de Taïwan est une zone du globe où cette question est très sensible. La Franc...
Non, je le retire, madame la présidente. Monsieur le ministre, les enjeux relatifs au prépositionnement et ceux qui concernent le niveau des menaces pouvant peser sur nos outre-mer sont deux questions différentes. Je proposais au travers de cet amendement d’inscrire un tel prépositionnement dans le cadre d’une stratégie dans l’Indo-Pacifique,...
Cet amendement concerne les éléments de surveillance intéressant notre ZEE et la préservation de notre souveraineté, notamment dans les outre-mer. Nous savons que le nombre de patrouilleurs est largement insuffisant, et nos besoins à cet égard sont à peine couverts. L’amendement vise à prévoir une étude complémentaire sur le nombre de patrouil...
Oui, madame la présidente.
Le contrat opérationnel, tel qu’il est fixé aujourd’hui, stipule que, tous les trois ans, la marine nationale doit patrouiller dans la zone économique de l’île de La Passion-Clipperton, laquelle s’étend sur 436 000 kilomètres carrés ; elle est plus importante que celle de l’Hexagone – Corse comprise –, qui représente 345 000 kilomètres carrés. ...
… en attendant l’installation d’une base scientifique sur cette île.