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Cela a tout de même été long.
Pourrez-vous nous communiquer ces réponses ?
Étiez-vous déjà en situation de pénurie ?
Il n'y avait pas de tension sur les approvisionnements ?
Mais tout a été bloqué dès le 28 février, puisque l'État était prioritaire.
Pensez-vous que nous y soyons prêts ?
Sur le terrain, on n'a pas vu bouger grand-chose.
Les situations étaient différentes selon les départements. Le secteur médico-social n'était pas touché là où le covid ne circulait pas.
Nous pouvons par exemple évoquer les CLS.
M. Karoutchi est-il rassuré ?
Il n'y a pas eu de retour d'expérience ?
Ces documents nous ont été transmis.
Combien de ces 110 lits ont été occupés ?
Beaucoup d'établissements ont confié des respirateurs ou du personnel, se sont retrouvés dans le circuit et ont récupéré en provenance d'autres hôpitaux des malades en gériatrie, pour lesquels leurs spécialistes n'étaient pas formés. Cela a posé des difficultés.
Certains de vos professionnels ont-ils eu des prêts garantis par l'État ou droit à l'activité partielle ?
Cette compensation a-t-elle été effectivement versée ?
Ce n'est pas une tromperie. Nous avons voté en toute connaissance de cause. Nous savions très bien que si nous augmentions l'Ondam de 4 milliards d'euros par ans alors qu'il aurait fallu 8 milliards d'euros, il manquerait encore 4 milliards d'euros.
Non. Nous le savions très bien. Nous avions passé des heures à analyser les budgets. Nous faisons notre travail de parlementaires.
Nous partageons ce point de vue. Nous y avons déjà travaillé, et nous voyons bien les difficultés. Vous pourrez peut-être nous aider.
Plusieurs questions se posent. A-t-on tiré les conséquences de la première vague ? Sommes-nous mieux préparés à une deuxième ? A-t-on réorganisé sur les territoires la coopération entre hôpital public et médecine de ville ou entre ARS et élus ? Il faut des retours d'expérience, pour voir ce qui n'a pas marché, sans animosité. Quoi qu'il en soit...