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Comme à chaque fois !
Comme depuis cinquante ans !
On peut prendre les chiffres par tous les bouts, mais sans les prendre sur l’ensemble de la programmation avec les chevauchements d’années – j’ai déjà eu ce débat avec Rachid Temal en commission. Si l’on prend le budget annuel de la défense en 2017 et celui qui est proposé pour 2030, on s’aperçoit que celui-ci a doublé.
Pourtant, à lire cet amendement, on voit bien que l’on tourne autour du pot. Je m’en suis expliqué plusieurs fois, je n’y reviens pas. J’en viens donc à l’amendement n° 6, qui me donnera l’occasion de décrire de nouveau les modalités de l’amendement du Gouvernement. Monsieur le rapporteur pour avis, vous essayez de faire en sorte que les deux ...
Moi, non ! Au contraire, ils nous permettent de traiter l’inflation et cela se fait en accord avec les industriels. En effet, ces derniers bénéficient trouvent leur intérêt dans cette affaire : les programmes sont d’une masse telle que le report de charges nous permet aussi de déclencher la facture en accord avec les industriels au moment où l...
Moi, non ! Au contraire, ils nous permettent de traiter l’inflation et cela se fait en accord avec les industriels. En effet, ces derniers trouvent leur intérêt dans cette affaire : les programmes sont d’une masse telle que le report de charges nous permet aussi de déclencher la facture en accord avec les industriels au moment où les critères ...
Si les marges frictionnelles existent, c’est parce que, depuis 1960, on a suffisamment de recul sur les différentes lois de programmation. Je rechigne à prendre cet exemple, parce qu’il est malheureux, mais il peut aider à nous comprendre. C’est un peu le principe du surbooking : au regard de la masse des grands programmes, il y a évide...
Pourquoi affaiblir la programmation en repassant en annuités budgétaires ? C’est la force de la programmation ! C’est comme pour les reports de charges. Dans ces conditions, privons-nous d’un autre outil qui est utile pour le ministère des armées. C’est promis, je ne m’en émouvrai pas dans Le Figaro la prochaine fois, …
Exactement.
… mais j’expliquerai ce qu’il en est. Sur le fond, je le répète, on est en train de s’en prendre à des outils qui sont bons pour le ministère des armées. M. Retailleau a raison de dire que l’alinéa 1er de l’article 3 – prima inter pares… – n’a pas été modifié, puisque le montant s’élève à 413, 3 milliards d’euros. Pour autant, mesdames,...
… mais j’expliquerai ce qu’il en est. Sur le fond, je le répète, on est en train de s’en prendre à des outils qui sont bons pour le ministère des armées. M. Retailleau a raison de dire que l’alinéa 1er de l’article 3 – prim us inter pares… – n’a pas été modifié, puisque le montant s’élève à 413, 3 milliards d’euros. Pour autant, mesdame...
Monsieur Todeschini, vouloir des montants en euros constants, plutôt qu’en euros courants, est très contradictoire avec les propos que vous avez tenus sur l’inflation lors de la discussion générale. Alors que vous émettez une crainte sur nos hypothèses en matière d’inflation, en demandant ce basculement en euros constants, vous écartez toute fo...
… je rappelle que, jadis – vous savez d’où je viens –, c’est en basculant d’euros courants en euros constants que le budget global des armées a été diminué, grignoté par l’inflation. Christian Cambon a raison d’émettre un avis défavorable sur cet amendement. Son adoption viendrait en effet caper l’ensemble des efforts consentis en ignorant tot...
Monsieur Retailleau, pour revenir sur l'aspect personnel que vous avez évoqué, je connais votre sincérité, que je ne me permettrai jamais de mettre en doute. Cela étant, j'ai l'impression qu'il est parfois difficile pour certains de créditer le Président de la République de l'augmentation des crédits militaires et que l'on cherche à amoindrir ...
Non !
Non, 430 milliards d’euros !
Je dirai cinq choses, avec la même bonne foi. Je veux vraiment qu'elles soient comprises. Premièrement, vous examinez un projet de loi dont le rapport annexé prévoit 413 milliards d'euros de besoins militaires. Enfin, ce n'est plus vrai, j'y reviendrai dans mon quatrième point, car l'enveloppe a été portée à 416, 2 milliards d'euros, le Sénat ...
Deuxièmement, ne dites pas, en quelque sorte pour circonscrire le débat, que nous faisons du surbooking, monsieur de Legge : toutes les lois de programmation militaire ont toujours prévu des marges frictionnelles. J'ai voulu cette fois, par souci de transparence, en faire état au Parlement, mal m'en a pris. Je vous avoue que je le regret...
N'étant pas mon propre opposant, je vous répondrai que, l'inflation étant forte, les gains que procurent les reports de charges seront bien supérieurs à leur coût pour les industriels, …
... comme j'en ai fait la démonstration au sénateur de Legge dans un courrier. Cela étant, si, pour ne pas se déjuger, on finit par écraser des dispositifs qui sont bons pour le ministère des armées, je le regretterai, mais, c'est promis, je ne le ferai pas dans Le Figaro.