Interventions sur "banque"

850 interventions trouvées.

Photo de Victorin LurelVictorin Lurel :

L'union bancaire est-elle réellement fonctionnelle ? L'Italie a récemment dû renflouer des banques. Pourquoi le mécanisme de résolution unique et le renflouement interne n'ont-ils pas fonctionné ? Quel sera l'impact pour les services de la direction générale du Trésor de l'abandon du franc CFA, en termes d'effectifs, d'activité, de taux ? Comment accompagnerez-vous cette réforme ? Comment la France sera-t-elle désormais représentée au sein de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (...

Photo de Sébastien MeurantSébastien Meurant :

...ns, sa dépense publique atteint un niveau record par rapport à la moyenne européenne, ce qui se traduit par une pression fiscale record pour les entreprises et les ménages et rend difficile toute fiscalité additionnelle verte. Que faudrait-il faire pour dégager des marges de manoeuvre monétaires et budgétaires ? Enfin, quel est votre point de vue sur le scandale des primes indues versées par la banque Arkéa à plusieurs de ses dirigeants ?

Photo de Dominique Estrosi SassoneDominique Estrosi Sassone :

...érateurs, dont La Poste, qui est une figure majeure, avec la SNCF, ou les opérateurs mobiles ? Quel pourrait être l'apport budgétaire de La Poste ? Les maisons de services au public (MSAP), créées en 2015, seront réduites en conséquence, et l'État cessera de les financer le 31 décembre 2021. Quid de l'après ? L'identité numérique de La Poste pourrait-elle être adoptée par d'autres entreprises - banques, assurances, mutuelles -, qui demanderaient à leurs clients d'effectuer les démarches administratives en ligne ? Quel sera le gage de sa sécurité ? Cette identité numérique est valable pour cinq ans. Avez-vous anticipé ses modalités de renouvellement ?

Photo de Alain DuranAlain Duran :

...era toujours pris en compte pour toutes les transformations à venir ? Il peut s'agir de la transformation des bureaux de poste, mais aussi de changements d'horaires, qui peuvent être une arme redoutable pour réduire la fréquentation. Nos administrés ont de plus en plus de mal à se procurer des espèces. Dans le cadre de la multiactivités, que vous appelez de vos voeux, la création du grand pôle de banque et assurance publique ne pourrait-elle pas apporter une réponse ?

Photo de Albéric de MontgolfierAlbéric de Montgolfier, rapporteur général :

Vous avez abordé la transposition de l'accord de Bâle III, essentiel pour des raisons de sécurité. Mais selon l'analyse des banques, il imposerait un renforcement des fonds propres dont l'impact global serait de 23,6 à 21,1 %. Pourquoi s'infliger de telles règles, qui risquent de porter atteinte à la compétitivité de nos banques notamment vis-à-vis des banques américaines ? Ce sont des exigences conventionnelles qui risquent de peser sur la compétitivité des banques européennes. Nous avons atteint les niveaux les plus bas d...

Photo de Michel CanevetMichel Canevet :

Une récente étude de McKinsey affirme qu'une banque sur trois devrait disparaître. En 2017-2018, 70 000 postes ont été supprimés, et 50 000 devraient l'être cette année dans le secteur bancaire. Une telle évolution est-elle prévisible en France ? La loi Pacte voulait réorienter l'assurance-vie vers l'épargne active, mais 80 % des encours sont sur des fonds en euros à capital garanti. Observe-t-on une évolution vers une épargne plus active au béné...

Photo de Jean-François HussonJean-François Husson :

...a consolidation du secteur bancaire européen. Longtemps, les acteurs bancaires ont été prudents. Le directeur général de la Société Générale s'est montré, lors d'un entretien au Financial Times, particulièrement volontaire et optimiste. Cette consolidation va-t-elle s'appliquer ? J'ai une préoccupation qui n'est pas résolue, la présence des DAB et leur meilleure répartition sur le territoire. La Banque de France voulait que les banques s'autorégulent d'ici à la fin 2019 - cela n'a pas été le cas. Envisagez-vous une intervention publique et si oui, de quel ordre ?

Photo de Philippe DallierPhilippe Dallier :

Selon vous, il faudrait des circonstances exceptionnelles pour ne pas appliquer la formule sur le livret A. Qu'entendez-vous par là ? Il y a deux ans, le Gouvernement n'a pas augmenté le taux du livret A, pénalisant les épargnants mais donnant un avantage manifeste aux banques. Selon Moody's, la non-augmentation du taux du livret A leur a fait gagner 920 millions d'euros. Confirmez-vous ce chiffre ? Le modèle de financement actuel du logement social est solide mais il est remis en cause. Vous semble-t-il toujours le plus pertinent ?

Photo de Jérôme BascherJérôme Bascher :

Je suis membre de la commission de surveillance de la Caisse des dépôts et consignations. Dans quelle mesure Bâle III rend-il plus difficile la soutenabilité des banques dans un régime de taux bas durable ? C'est une question d'équilibre de long terme. Nous devons aller vers une bonne proportion de fonds propres. Le président de la commission des finances de l'Assemblée nationale vous a aussi interpellé sur ce sujet. L'année dernière, vous vous inquiétiez de l'augmentation massive du taux d'endettement en France, tant pour les ménages que pour les entreprises. O...

Photo de Alain HoupertAlain Houpert :

Les banques centrales n'ont-elles pas une responsabilité sur les taux d'intérêt ? La baisse des taux ne va-t-elle pas alimenter des bulles d'actifs ? Les sénateurs sont proches des collectivités locales. Toutes les communes ont vu leurs dotations baisser de 60 à 70 % depuis cinq ans. Elles sont confrontées à des investissements financés par des emprunts à des taux de 5 à 6 %. De nombreuses communes aimerai...

Photo de Marc LaménieMarc Laménie :

Nous sommes très attachés à la présence de la Banque de France dans les territoires. Les structures départementales ont un rôle de proximité avec l'ensemble des services de l'État auprès des acteurs économiques, et la commission de surendettement de la Banque de France tient une place prépondérante. Les chiffres de surendettement des ménages se maintiennent-ils ?

Photo de Philippe DominatiPhilippe Dominati :

...nt de notre pays et du déficit du budget de l'État en dix secondes. Nous aurions aimé connaître les chiffres de l'accroissement de la dette au cours de ces quatre dernières années et surtout le montant du déficit cumulé. Deux hypothèses : est-ce parce que vous considérez que la France a gagné beaucoup d'argent grâce aux taux négatifs, vu l'importance de notre dette ? Ou doit-on en conclure que la Banque de France est une institution qui tranquillise les dirigeants de notre pays ? Régulièrement, les ministres des finances, quels qu'ils soient, nous alertent, en effet, sur l'importance de la dette, qui constitue un fardeau pour les générations futures. Vous avez omis de mentionner, dans le panorama que vous avez dressé, que nous venons de dépasser la barre des 100 % du PIB d'endettement public. Qu...

Photo de Christine LavardeChristine Lavarde :

Je voulais vous demander si le tiering mis en place en septembre, était de nature, selon vous, à compenser l'effet négatif des taux bas pour les banques et les assurances. Mais il me semble, à vous entendre, que la réponse est « oui », d'autant plus si elle est couplée à d'autres réformes structurelles qui sont de la responsabilité des établissements.

Photo de Victorin LurelVictorin Lurel :

...es comme des politiques d'un autre âge... Il n'existerait aussi qu'une politique monétaire possible, celle de l'assouplissement quantitatif. Je veux aussi m'étonner de la multiplication des contraintes auxquelles on est confronté en raison du Foreign Account Tax Compliance Act (FATCA). On me demande chaque année d'envoyer toutes sortes de documents, y compris ceux qui concernent mon compte à la Banque Postale.... J'ai déjà fourni les comptes rendus d'une SCI familiale, j'ai refusé de les transmettre à nouveau et on me menace de bloquer mes comptes ! Ces obligations constituent une brimade pour les entreprises, une atteinte à notre souveraineté. Comment peut-on être à ce point assujettis à la législation américaine ? Que peut-on faire ?

Photo de Jean-Marc GaboutyJean-Marc Gabouty :

Vous avez eu une approche macro-économique très documentée. Mais les règles prudentielles qui sont imposées aux banques ont parfois des effets redoutables au niveau micro-économique, notamment pour les entreprises en situation délicate ou en mutation. Lorsque les clignotants sectoriels passent au rouge ou à l'orange, l'accès au crédit devient difficile, y compris pour financer des investissements qui pourraient préserver l'avenir de l'entreprise, quel que soit le niveau de garanties apportées, ce qui conduit nomb...

Photo de Jean-Yves LeconteJean-Yves Leconte :

La BEI peut-elle véritablement accroître sa notoriété ? Étant déjà très engagée dans le plan Juncker, que peut-elle faire de plus ? La taxinomie est un sujet majeur. Est-ce, pour vous, un sujet d'experts ou un sujet politique ? Est-ce quelque chose qui devra évoluer avec le temps ? Pensez-vous qu'il faille réviser les critères d'appréciation des banques pour tenir compte de leurs investissements éventuels au profit de projets verts ? Doit-on fixer une règle une fois pour toutes ou faudra-t-il permettre des évolutions en fonction des connaissances ou des moyens ? Enfin, que fait la BEI pour l'éducation en Europe et hors d'Europe ?

Photo de André GattolinAndré Gattolin :

J'ai le sentiment que la BEI est en train d'occuper la place de la grande banque européenne du climat dont il a été beaucoup question lors de la campagne pour les élections européennes. On a un peu l'impression que le Green Deal est un plan Juncker dont l'application reposera sur les instruments qui fonctionnent actuellement, comme la BEI. Quoi qu'il en soit, il ne semble pas que l'on s'oriente vers la création d'une entité autonome sur ces sujets. Pouvez-vous me répondre sur...

Photo de Pascale GrunyPascale Gruny, co-présidente :

...es nocives » des grands opérateurs historiques, dont les premières victimes sont les PME. Nous avons également découvert le rôle très positif joué par KOSC, nouvel opérateur neutre sur le marché de gros pour les entreprises, particulièrement apprécié par tous les acteurs de services numériques pour les PME. Aussi les récentes décisions quasi concomitantes de l'Autorité de la concurrence et de la Banque des territoires nous ont interpellés : elles ont placé KOSC dans une situation très délicate. Nous avons entendu à cet égard les vives inquiétudes des agrégateurs de réseaux et de services de télécommunication. La disparition de KOSC ou son rachat par un grand opérateur également présent sur le marché de détail seraient comme un retour en arrière. Ce serait le signal qu'une meilleure concurrence ...

Photo de Patrick ChaizePatrick Chaize, co-président :

Il y a un problème de temporalité. Combien de temps peut-on attendre ? Mais un acteur important, la Banque des territoires, est arrivé en 2018. La situation de l'entreprise était déjà largement connue alors. Cette entrée au capital n'a-t-elle pas répondu à l'attente des autres investisseurs ? Un mouvement positif s'est tout de même enclenché, il n'y a pas si longtemps. Pourquoi ne pas attendre ses effets ?

Photo de Raymond VallRaymond Vall :

Ne peut-on avoir la Banque des Territoires et la BPI sur le même projet ?