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Je vous propose d'écrire : « Il est nécessaire de mettre l'accent, l'État étant actionnaire, sur le maintien de l'activité en France pour Airbus et ses sous-traitants ».
Sommes-nous d'accord pour dire que l'État devra rendre compte chaque année de sa politique en tant qu'actionnaire ?
Mais avec 15 ou 25%, il ne peut rien faire !
Nous intégrons les deux phrases et vous présenterez toutes vos remarques sous votre signature. (Assentiment)
Nous avons proposé que ce soit un industriel.
On peut effectivement dire : « La mission ».
On pourrait effectivement préciser « dans certains secteurs » (Assentiment) Sur le recours au global sourcing Ajouter «Les déplacements dans les territoires ont mis en avant des pratiques de donneurs d'ordre demandant à leur fournisseur des conditions tarifaires ne pouvant s'obtenir que par la délocalisation de certaines productions, voire d...
Avis favorable. (Assentiment)
La question posée est tout à fait pertinente : en fait, les statistiques indiquent que l'industrie manufacturière représente en France 14 % de la valeur ajoutée totale, comme il est indiqué au début du rapport, et 16 % de la valeur ajoutée marchande, en excluant, par exemple, les administrations publiques. Je propose donc de rajouter la précisi...
C'est vrai pour la plus part des entreprises de moins de 50 salariés. Mais je ne parle pas des grandes entreprises. On peut remplacer le mot « patron » par le mot « chef d'entreprise ». (Assentiment) p.51 à 53: coûts salariaux et coûts unitaires en France et en Allemagne. Rédiger ainsi les deux sections « ·S'agissant de l'industrie manufact...
Je vous propose donc une réécriture de cette section. J'ai ajouté, à la demande de Mme Élisabeth Lamure, un tableau sur les coûts horaires dans les pays de l'Union européenne. La nouvelle rédaction s'appuie également sur le dernier rapport thématique de la Cour des comptes, publié début mars. Comme l'a indiqué le Premier président de cette Cour...
Je n'ai fait que reprendre ce qu'a dit M. Migaud ! Il y a dix ans, notre différentiel avec l'Allemagne était de 10 %. Depuis, nous nous sommes fait grignoter. Il ne s'agit que d'un simple constat.
Je ne dis rien de tel. Je fais une constatation. Chacun, ensuite, peut faire des propositions.
D'ailleurs, plus loin, je propose une revalorisation salariale.
Page 235, il est écrit, en gras, que la mission recommande d'améliorer le niveau des salaires dans l'industrie.
Mais je ne fais que citer les propos de M. Migaud ! Je ne mets pas en cause les salaires, mais les charges qui pèsent sur les salaires : 43 % en France contre 28 % en Allemagne.
Le rapport fait référence au coût de l'énergie deux ou trois pages plus loin. En outre, la question du coût salarial arrive en troisième position. Elle n'est donc pas mise en exergue. De plus, nous nous bornons à constater le rattrapage du différentiel de salaire entre la France et l'Allemagne. Enfin, les charges salariales s'élèvent à 28 % en ...
N'oubliez pas que les Allemands importent trois fois plus de produits intermédiaires que nous pour leur production industrielle.
J'avais l'impression que nous étions parvenus à un point d'équilibre.
Je ne comprends pas que vous n'acceptiez pas le constat dressé par M. Migaud, à moins d'estimer qu'il se trompe...