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… parce qu’ils sont harcelés par une caste qui, elle, ne prête pas serment – l’administration – et qui représente 30 % du personnel. Tout cela vient de la loi HPST, portant réforme de l’hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires, votée en 2009 sous la présidence de Nicolas Sarkozy. À l’époque, j’avais voté contre !
Ce texte découlait notamment d’un rapport remis au Gouvernement par le président du Sénat, Gérard Larcher. Cette loi, présentée par Mme Bachelot, a tué l’hôpital. Bruno Retailleau et moi savons qu’il s’agissait d’une erreur. Nous devons collectivement reconnaître nos erreurs et ne pas les reproduire. Recommencer ses erreurs est tout simplement...
Mais si !
Je signalerai simplement à notre rapporteur que les vaccins à notre disposition ont reçu une autorisation de mise sur le marché, mais qu’ils sont toujours en phase d’essai.
La nuit du 4 août 1789 a marqué l’histoire ; la loi du 5 août 2021 a continué de ruiner l’hôpital. J’ai entendu le ministre des solidarités et de la santé reléguer au rang d’« anecdotes » les vies privées de certains Français et se réjouir d’avoir forcé les soignants à se faire vacciner et de les avoir poussés à céder. Pour ma part, j’ai reçu...
Tout cela est bien compliqué ! Peut-on encore faire confiance au Gouvernement, après tous ses mensonges, tous ses revirements, toutes ses prévisions alarmistes, dont on change les critères pour les rendre encore plus alarmantes ? Je voudrais revenir sur la pression vaccinale qui pèse sur les enfants et les mineurs. En médecine, quand on parle ...
Les services hospitaliers ont besoin de leurs soignants.
Êtes-vous médecin ?
Je ne vous crois pas !
Madame la présidente, madame la ministre, mes chers collègues, nous avons eu des débats respectueux, c’est la noblesse du Sénat. Comme l’a souligné Loïc Hervé, le Sénat s’apprête à adopter un texte qui a été durement amendé en commission. Je ne comprends pas que ma famille politique vienne conforter le Gouvernement dans son obstination à utili...
Madame Bourguignon, vous avez parlé de situation exceptionnelle. Les situations exceptionnelles ont existé dans le passé ; il y a eu des tribunaux d’exception : mon père y est passé, et il a fait trois ans de camp de concentration. Je ne peux donc pas entendre cette expression !
Quelle horreur, oui ! Licencier des gens au motif qu’ils ne se conforment pas à votre interprétation de la vie, c’est exceptionnellement horrible.
J’ai beaucoup de respect pour mes confrères médecins.
J’aurais aimé que ce débat ne se tienne pas dans la précipitation et que l’on écoute justement nos confrères. J’ai d’ailleurs discuté un peu plus tôt par téléphone avec certains d’entre eux, qui pratiquent à l’Hôtel-Dieu. Je ne suis pas d’accord avec les propos qui viennent d’être tenus et je suis triste d’entendre des discours à la Diafoirus ...
Je n’en suis pas si sûr… Revenons au bon sens, mes chers collègues. Nos enfants ont souffert de l’isolement et continuent d’en souffrir. Ils ont besoin de se retrouver. Et, en terrasse, la promiscuité est moindre que dans le métro.
Je félicite Sylviane Noël d’avoir présenté cet amendement et je la félicite du courage dont elle fait preuve en le maintenant. Vérifier le QR code, c’est-à-dire l’état de santé d’un citoyen, c’est une mission de police, une mission régalienne et il n’y a pas de honte à demander à l’État d’exercer ses responsabilités.
L’enfant, c’est notre horizon et notre avenir. Si nous laissons décider un seul des deux parents pour son enfant, nous ouvrons la voie à un désaccord. Personnellement, je préfère le consensus, c’est-à-dire l’accord des deux parents. Je suis pour la paix des ménages et des familles. Dans les familles désunies – c’est toujours le pire –, s’il y ...
M. Alain Houpert. Il est difficile d’entendre dans cet hémicycle, dans la bouche d’un membre du Gouvernement, le mot « irresponsable ». Cela nous renvoie à ce qui s’est passé à l’Assemblée nationale, monsieur le secrétaire d’État : vous avez marché sur le Parlement !
M. le rapporteur a au moins l’art de la litote : il a parlé de dentelle. Mais je rappellerai que la dentelle permet de faire passer la lumière.
Je suis parlementaire depuis quatorze ans !