Amendement N° COM-411 (Rejeté)

Commission de la culture, de l'éducation et de la communication

Mise au point au sujet d'un vote

Déposé le 13 mai 2013 par : MM. Legendre, Carle, Bordier, Chauveau, Mme Duchêne, MM. Dufaut, A. Dupont, Duvernois, Mme Farreyrol, MM. B. Fournier, J.C. Gaudin, Grosdidier, Humbert, Leleux, Martin, Mme Mélot, M. Nachbar, Mme Primas, MM. Savin, Soilihi, Vendegou.

Photo de Jacques Legendre Photo de Jean-Claude Carle Photo de Pierre Bordier Photo de Jean-Pierre Chauveau Photo de Marie-Annick Duchêne Photo de Alain Dufaut Photo de Ambroise Dupont Photo de Louis Duvernois Photo de Jacqueline Farreyrol Photo de Bernard Fournier 
Photo de Jean-Claude Gaudin Photo de François Grosdidier Photo de Jean-François Humbert Photo de Jean-Pierre Leleux Photo de Pierre Martin Photo de Colette Mélot Photo de Philippe Nachbar Photo de Sophie Primas Photo de Michel Savin Photo de Abdourahamane Soilihi Photo de Hilarion Vendegou 

Supprimer cet article.

Exposé Sommaire :

La réforme des rythmes scolaires telle que prévue par le Gouvernement n'est pas applicable en 2013 et doit être reportée à une date ultérieure.

Le Gouvernement a publié un décret portant cette réforme sans concertation préalable, ce qui a suscité un rejet tant des représentants des collectivités locales que de la communauté éducative.

Cette situation est d'autant plus regrettable que la nécessité de réformer les rythmes scolaires fait l'ojet d'un consensus. Un rapport d'orientation élaboré sous la précédente législature, en juillet 2011, faisant suite à une conférence nationale sur le sujet, proposait dix mesures à cet effet.

Il est particulièrement déraisonnable d'imposer une réforme du ryhme scolaire créant une demi-journée d'enseignement supplémentaire alors qu'il faudrait repenser les rythmes de la journée à l'année.

En outre, en demandant aux communes d'appliquer la réforme dès 2013, faute de quoi elles ne bénéficieront pas de la même aide financière, le Gouvernement n'a pas hésité à désorganiser les services des collectivités. Il faut rappeler que celles-ci devront supporter un coût de 3 milliards d'euros en 5 ans pour appliquer la réforme.

Il convient donc d'en repousser l'application jusqu'à ce qu'un nouveau projet pris en concertation soit proposé.

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