Amendement N° 151 rectifié (Retiré)

Mise au point au sujet d'un vote

Avis de la Commission : Demande de retrait — Avis du Gouvernement : Demande de retrait

Déposé le 13 septembre 2015 par : MM. Gilles, Mouiller, Mme Cayeux, MM. D. Laurent, de Nicolay, B. Fournier, Commeinhes, Charon, G. Bailly, Grand, Falco, Lefèvre, Mmes Deromedi, Hummel, Primas, Garriaud-Maylam, MM. Trillard, Adnot, Mmes Mélot, Lopez, M. Gournac, Mme Gruny.

Photo de Bruno Gilles Photo de Philippe Mouiller Photo de Caroline Cayeux Photo de Daniel Laurent Photo de Louis-Jean de Nicolay Photo de Bernard Fournier Photo de François Commeinhes Photo de Pierre Charon Photo de Gérard Bailly Photo de Jean-Pierre Grand Photo de Hubert Falco 
Photo de Antoine Lefèvre Photo de Jacky Deromedi Photo de Christiane Hummel Photo de Sophie Primas Photo de Joëlle Garriaud-Maylam Photo de André Trillard Photo de Philippe Adnot Photo de Colette Mélot Photo de Vivette Lopez Photo de Alain Gournac Photo de Pascale Gruny 

Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

... – L'article L. 3114-5 du code de la santé publique est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Ce décret comporte un volet consacré à la mise en œuvre d’actions de sensibilisation de la population et d’information des professionnels de santé. Il tient compte des observations du Haut Conseil de la santé publique afin de mieux détecter les porteurs atteints. »

Exposé Sommaire :

Certaines maladies vectorielles peuvent constituer un véritable fléau. Il en est ainsi de la maladie de Lyme qui progresse dans les zones humides y compris dans les pays tempérés de la zone septentrionale (États-Unis, Canada, Europe…).

La maladie de Lyme, détectée à temps, peut être traitée par voie d’antibiotiques. Mais, en l’absence d’une détection rapide, cette maladie devient chronique comme le HCSP s’en est fait l’écho. Or, l’infection entraîne, sans traitement, divers troubles pathologiques (dermatologiques, arthritiques, cardiaques, neurologiques et parfois oculaires) très handicapants. Ces symptômes divers rendent son diagnostic clinique assez incertain et le diagnostic sérologique, destiné à confirmer le diagnostic clinique, n’est pas satisfaisant en raison du manque de fiabilité de certains tests utilisés, ce que confirme l’état des lieux effectué par le Haut conseil de la santé publique (HCSP) dans son rapport adopté le 28 mars 2014.

Il semble donc opportun de mieux prendre en compte les observations, voire les préconisations du HCSP.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

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