Amendement N° 371 rectifié (Rejeté)

Mise au point au sujet d'un vote

Discuté en séance le 15 septembre 2015
Avis de la Commission : Demande de retrait — Avis du Gouvernement : Demande de retrait

Déposé le 14 septembre 2015 par : Mmes Laborde, Billon, Blondin, M. Bonnecarrère, Mme Bouchoux, MM. Castelli, Détraigne, Mme Gatel, MM. Guérini, Guerriau, L. Hervé, Houpert, Mmes Jouanno, Jouve, M. Kern, Mme Morin-Desailly, M. Requier.

Photo de Françoise Laborde Photo de Annick Billon Photo de Maryvonne Blondin Photo de Philippe Bonnecarrere Photo de Corinne Bouchoux Photo de Joseph Castelli Photo de Yves Détraigne Photo de Françoise Gatel 
Photo de Jean-Noël Guérini Photo de Joël Guerriau Photo de Loïc Hervé Photo de Alain Houpert Photo de Chantal Jouanno Photo de Mireille Jouve Photo de Claude Kern Photo de Catherine Morin-Desailly Photo de Jean-Claude Requier 

Après l’article 3 bis

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après le titre III du livre Ierde la deuxième partie du code de la santé publique, il est inséré un titre … ainsi rédigé :

« Titre…
« Information des mineurs
« Chapitre unique
« Art. L. ... – Une consultation par un médecin ou une sage-femme est proposée aux mineurs pour les informer sur la contraception et sur la prévention des infections sexuellement transmissibles et des conduites addictives.
« Le mineur est informé de cette consultation lors de l’envoi de la carte Vitale par la caisse d’assurance maladie. »

Exposé Sommaire :

En France, 6, 7 % des jeunes âgés de 12 à 17 ans ont déjà eu recours une fois à l’interruption volontaire de grossesse. Il est donc indispensable de simplifier et de faciliter l’accès à la contraception pour l’adolescent.

Cet amendement vise à proposer une consultation, dès 16 ans, auprès d’un médecin ou, s’agissant des jeunes filles, d’une sage-femme, pour informer les jeunes des différentes méthodes de contraception existantes susceptibles de les concerner.

Conçue dans un esprit de santé publique, cette consultation pourrait aussi contribuer à renforcer l’information des jeunes sur les pratiques à risques et sur les risques d’IST ; elle pourrait aussi permettre d’améliorer la prévention des cancers génitaux féminins.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

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