Amendement N° COM-12 (Rejeté)

Commission de la culture, de l'éducation et de la communication

Prestation de serment de juges à la cour de justice de la république


( amendement identique : COM-291 )

Déposé le 11 avril 2019 par : Mme Guidez, MM. Milon, Vanlerenberghe, Détraigne, Loïc Hervé, Bernard Fournier, Guerriau, Janssens, Mme Goy-Chavent, MM. Decool, Lefèvre, Longeot, Mmes Kauffmann, Sollogoub, MM. Laménie, Priou, Alain Marc, Mme Perrot.

Photo de Jocelyne Guidez Photo de Alain Milon Photo de Jean-Marie Vanlerenberghe Photo de Yves Détraigne Photo de Loïc Hervé Photo de Bernard Fournier Photo de Joël Guerriau Photo de Jean-Marie Janssens Photo de Sylvie Goy-Chavent 
Photo de Jean-Pierre Decool Photo de Antoine Lefèvre Photo de Jean-François Longeot Photo de Claudine Kauffmann Photo de Nadia Sollogoub Photo de Marc Laménie Photo de Christophe Priou Photo de Alain Marc Photo de Évelyne Perrot 

Supprimer cet article.

Exposé Sommaire :

Le but recherché à travers cet amendement est de rester dans le cadre juridique tel que défini depuis 2015. Il convient de souligner que celui-ci résulte d’un dialogue social auquel les infirmiers scolaires restent attachés.

Il s’agit donc ici d’une demande formulée par de nombreux professionnels, ne souhaitant pas revenir en arrière.

Tout d’abord, il est nécessaire de préciser que le droit actuel définit le champ de la promotion de la santé à l’école selon 7 axes (environnement scolaire, programme d’éducation à la santé, participation à la politique sanitaire nationale, coordination avec la PMI, réalisation d’examens de santé et détection précoce des troubles pouvant entraver la scolarité, accueil et suivi individuel des élèves, et veille épidémiologique).

En outre, ce présent article prévoit que la santé à l’école sera gérée en « équipes pluri-professionnelles ».

Or, il est important de souligner que cette rédaction revient à passer d’une démarche globale holistique (telle que définie à l’issue de la loi de refondation de l’école), à un retour au « pré carré » d’experts.

Elle constitue ainsi une perte d’autonomie pour les infirmiers scolaires.

C’est pourquoi cet amendement propose la suppression de l’article 16 bis.

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