Amendement N° 349 rectifié (Rejeté)

Prestation de serment de juges à la cour de justice de la république

Discuté en séance le 17 mai 2019
Avis de la Commission : Défavorable — Avis du Gouvernement : Favorable
( amendement identique : )

Déposé le 14 mai 2019 par : Mmes Ghali, Blondin, Monier, Lepage, M. Antiste, Mme Sylvie Robert, MM. Assouline, Lozach, Magner, Manable, Kanner, Bérit-Débat, Durain, Féraud, Fichet, Mmes Harribey, Gisèle Jourda, M. Marie, Mme Meunier, M. Montaugé, Mme Taillé-Polian, M. Tourenne, Mme Van Heghe, MM. Courteau, Daunis, Mme Préville, MM. Temal, Tissot, les membres du groupe socialiste, républicain.

Photo de Samia Ghali Photo de Maryvonne Blondin Photo de Marie-Pierre Monier Photo de Claudine Lepage Photo de Maurice Antiste Photo de Sylvie Robert Photo de David Assouline Photo de Jean-Jacques Lozach Photo de Jacques-Bernard Magner Photo de Christian Manable Photo de Patrick Kanner Photo de Claude Bérit-Débat Photo de Jérôme Durain Photo de Rémi Féraud 
Photo de Jean-Luc Fichet Photo de Laurence Harribey Photo de Gisèle Jourda Photo de Didier Marie Photo de Michelle Meunier Photo de Franck Montaugé Photo de Sophie Taillé-Polian Photo de Jean-Louis Tourenne Photo de Sabine Van Heghe Photo de Roland Courteau Photo de Marc Daunis Photo de Angèle Préville Photo de Rachid Temal Photo de Jean-Claude Tissot 

Rétablir cet article dans la rédaction suivante :

Le Gouvernement remet au Parlement, avant le 30 septembre 2019, un rapport sur l’état du bâti des écoles maternelles et élémentaires à Marseille.

Exposé Sommaire :

Cet amendement vise à rétablir l’article 24 bis supprimé en commission.

L’État désastreux du bâti des écoles à Marseille n’est un secret pour personne. Depuis des années, parents d’élèves, personnels enseignants, collectifs, dénoncent le délabrement des établissements scolaires à Marseille, mais ce n’est qu’en 2016 que ce problème marseillais est devenu une question nationale.

Ce délabrement met chaque jour en jeu la sécurité et la santé des écoliers et du personnel pédagogique. Pas une semaine se passe sans qu’un événement ne se produise au sein d’une école Marseille. La municipalité n’ayant pas pris la pleine mesure des enjeux, c’est à l’État de se substituer à la Ville de Marseille.

Sans remettre en cause le principe de libre administration des collectivités territoriales, l’État doit agir en effectuant une étude approfondie sur l’État du bâti des écoles à Marseille, afin qu’un état des lieux soit fait et que des décisions concrètes soient prises. Il en va de la sécurité des enfants et de la bonne tenue des enseignements, mais aussi, en tant qu’employeur des enseignants marseillais, l’État doit aussi être le garant de leurs conditions de travail.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

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