Amendement N° 598 rectifié (Retiré)

Mise au point au sujet d'un vote

Avis de la Commission : Demande de retrait — Avis du Gouvernement : Demande de retrait
( amendement identique : )

Déposé le 9 novembre 2020 par : Mmes Micouleau, Bonfanti-Dossat, MM. Chatillon, Belin, Mme Boulay-Espéronnier, MM. Brisson, Calvet, Cambon, Charon, Chevrollier, Mmes Deromedi, Dumas, Garriaud-Maylam, Goy-Chavent, M. Gremillet, Mme Gruny, M. Houpert, Mme Jacques, MM. Daniel Laurent, Henri Leroy, Rapin, Sido.

Photo de Brigitte Micouleau Photo de Christine Bonfanti-Dossat Photo de Alain Chatillon Photo de Bruno Belin Photo de Céline Boulay-Espéronnier Photo de Max Brisson Photo de François Calvet Photo de Christian Cambon Photo de Pierre Charon Photo de Guillaume Chevrollier Photo de Jacky Deromedi 
Photo de Catherine Dumas Photo de Joëlle Garriaud-Maylam Photo de Sylvie Goy-Chavent Photo de Daniel Gremillet Photo de Pascale Gruny Photo de Alain Houpert Photo de Micheline Jacques Photo de Daniel Laurent Photo de Henri Leroy Photo de Jean-François Rapin Photo de Bruno Sido 

Alinéa 4, tableau, seconde colonne

1° Deuxième ligne

Remplacer le montant :

98, 9

par le montant :

98, 89

2° Troisième ligne

Remplacer le montant :

92, 9

par le montant :

92, 91

Exposé Sommaire :

Le présent amendement vise à attirer l'attention du Gouvernement sur le besoin de revalorisation des carrières des psychologues du secteur public hospitalier.

La mesure 2 des accords du Ségur de la Santé pour le personnel non médical prévoit des revalorisations des grilles indiciaires pour les personnels intervenant au contact des patients : les infirmiers, aides-soignants, manipulateur en électroradiologie médicale, pédicures- podologues, ergothérapeutes, orthoptistes, orthophonistes, masseurs- kinésithérapeutes, psychomotriciens, diététiciens, ainsi que les cadres de santé et directeurs de soins sont concernés par ces revalorisations.

Les psychologues hospitaliers devraient pouvoir bénéficier de cette mesure du fait de leur intervention directe auprès des patients. Leurs actions sont évidentes et incontournables tant dans les services de santé mentale que dans les services de soins généraux ou les EHPAD.

Cet amendement vise également à répondre aux difficultés croissantes dans le recrutement des psychologues à l’hôpital public où le manque d’attractivité des postes, avec un début de carrière à 1 600 € nets, ne permet pas d’offrir une alternative à l’installation en secteur libéral qui est devenu le mode d’exercice privilégié par les psychologues, dont il faut à cette occasion rappeler que le niveau de qualification se situe de bac + 5 à bac + 8.

Pour répondre à ces enjeux, le présent amendement prévoit une enveloppe de 10 millions d’euros affectée à la revalorisation de carrière des psychologues hospitaliers.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

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