Amendement N° 257 2ème rectif. (Retiré)

Convocation du parlement en session extraordinaire

Avis de la Commission : Demande de retrait
( amendement identique : 950 )

Déposé le 11 juin 2021 par : M. Longuet, Mme Valérie Boyer, MM. Burgoa, Cadec, Mme Chain-Larché, MM. Charon, Chatillon, Cuypers, Dallier, de Nicolay, Mmes Deromedi, Garriaud-Maylam, MM. Daniel Laurent, Panunzi, Piednoir, Mme Procaccia, MM. Sautarel, Vogel, Bascher, Mmes Deroche, Dumas, Lavarde, M. Duplomb.

Photo de Gérard Longuet Photo de Valérie Boyer Photo de Laurent Burgoa Photo de Alain Cadec Photo de Anne Chain-Larché Photo de Pierre Charon Photo de Alain Chatillon Photo de Pierre Cuypers Photo de Philippe Dallier Photo de Louis-Jean de Nicolay Photo de Jacky Deromedi 
Photo de Joëlle Garriaud-Maylam Photo de Daniel Laurent Photo de Jean-Jacques Panunzi Photo de Stéphane Piednoir Photo de Catherine Procaccia Photo de Stéphane Sautarel Photo de Jean Pierre Vogel Photo de Jérôme Bascher Photo de Catherine Deroche Photo de Catherine Dumas Photo de Christine Lavarde Photo de Laurent Duplomb 

Alinéa 2, deuxième phrase

Après les mots :

primaire par mètre carré et par an

insérer les mots :

ou en kilowattheures d’énergie finale par mètre carré et par an

Exposé Sommaire :

L’article 39 définit les indicateurs utilisés pour mesurer les consommations d’énergie et les émissions de gaz à effet de serre du diagnostic de performance énergétique (DPE).

Or, la prise en compte du seul indicateur « énergie primaire » pour mesurer les consommations d’énergie dans le DPE rencontre des limites qui nuisent à l’efficacité du dispositif.

Cet amendement propose de laisser la possibilité au pouvoir réglementaire d’intégrer les consommations d’énergie finale dans le volet Énergie du DPE.

L’énergie finale a l’avantage d’être en cohérence avec plusieurs objectifs de la politique de transition énergétique française, dont l’article L100-4 du code de l’énergie qui, « pour répondre à l'urgence écologique et climatique, la politique énergétique nationale a pour objectifs », impose de « réduire la consommation énergétique finale de 50 % en 2050 par rapport à la référence 2012, en visant les objectifs intermédiaires d'environ 7 % en 2023 et de 20 % en 2030. ».

D’autre part, l’énergie finale fait directement le lien avec les factures énergétiques payées par les occupants, la performance des équipements et du bâti.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

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