Amendement N° 1191 3ème rectif. (Rejeté)

Différenciation décentralisation déconcentration et simplification

Discuté en séance le 8 juillet 2021
Avis de la Commission : Défavorable — Avis du Gouvernement : Défavorable
( amendement identique : )

Déposé le 7 juillet 2021 par : MM. Lozach, Patrice Joly, Mme Frédérique Gerbaud, MM. Bacci, Bonnus, Roux, Mme Artigalas, MM. Bourgi, Montaugé, Mmes Préville, Briquet, MM. Gold, Bonhomme, Stanzione.

Photo de Jean-Jacques Lozach Photo de Patrice Joly Photo de Frédérique Gerbaud Photo de Jean Bacci Photo de Michel Bonnus Photo de Jean-Yves Roux Photo de Viviane Artigalas Photo de Hussein Bourgi Photo de Franck Montaugé Photo de Angèle Préville Photo de Isabelle Briquet Photo de Éric Gold Photo de François Bonhomme Photo de Lucien Stanzione 

Après l’alinéa 7

Insérer sept alinéas ainsi rédigés :

…° Le même II est ainsi modifié :

a) Le 3° est ainsi rédigé :

« 3° Un représentant élu des établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre de plus de 30 000 habitants ayant leur siège sur le territoire de chaque département ; »

b) Le 7° est ainsi rédigé :

« 7° Deux représentants élus des communes comprenant entre 2 000 et 3 500 habitants de chaque département ; »

c) Après le même 7°, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« ...° Deux représentants élus des communes de moins de 2 000 habitants ; »

Exposé Sommaire :

Dans la configuration actuelle, les présidents de tous les établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre – soit les 14 communautés urbaines, les 223 communautés d’agglomération et près de 1000 communautés de communes – sont membres de droit de la conférence territoriale de l’action publique, ce qui peut engendrer une surreprésentation de l’intercommunalité, et plus particulièrement de l’intercommunalité urbaine, par rapport à la commune.

Il est donc proposé que les présidents de ces établissements publics de coopération intercommunale ne soient plus désormais membres de droit des conférences territoriales de l’action publique, mais désignent un représentant au niveau départemental, comme le font les établissements publics de coopération intercommunale de moins de 30 000 habitants.

Qui plus est, afin d’y assurer une meilleure représentation de la commune rurale, il est proposé d’augmenter le nombre de représentants des communes de moins de 3 500 habitants et de créer deux strates, à savoir les communes comprenant entre 2 000 et 3 500 habitants et les communes de moins de 2 000 habitants, ce qui permettra de mieux prendre en compte la diversité des territoires ruraux.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

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