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Le mardi après-midi la Mecss (mission d'évaluation et de contrôle de la sécurité sociale) tient des auditions...
Un package ?
A mon tour de féliciter Muguette Dini. Peu importe les modalités, faciliter la transmission des informations entre départements est de bon sens. Et quand bien même ce texte concernerait seulement quelques familles, un enfant en danger mérite autant d'attention que mille. On connaît, dans mon département de Maine-et-Loire, toute l'importance du ...
Pourquoi ne procède-t-on pas comme vous le suggérez ? Cela paraît si simple !
Vous suggérez revaloriser le montant des consultations externes à l'hôpital, ne pensez-vous pas que cela vaudrait aussi pour les consultations de ville, la tarification à l'acte en secteur 1 ne correspondant pas au coût réel et au temps passé ? Et quand vous soulignez les lourdeurs dans la gestion des hôpitaux, faites-vous référence aux ressour...
Les cliniques privées n'ont pas les mêmes contraintes, par exemple en matière de licenciement.
Le président du syndicat des départements d'information médicale (DIM) a beaucoup insisté sur le fait que ces services devaient être dirigés par des médecins, notamment pour des raisons de secret médical, ce dont je ne suis pas persuadée. Qu'en pensez-vous ? Enfin, puisque la convergence entre cliniques concurrentielles et hôpitaux publics se...
Le système français arrive en bout de course.
La loi Bachelot a distingué entre hospitalisations courtes dans les CHU et soins de proximité assurés dans les hôpitaux plus ruraux.
Les pressions du politique sur le Gouvernement ne sont pas propres aux questions hospitalières. C'est la même chose par exemple lorsqu'une entreprise risque de partir.
Jusqu'à ce qu'on demande au politique de s'en mêler.
Au regard des travaux effectués par les DIM, n'est-il pas possible d'isoler les activités réellement comparables entre secteurs public et privé ? Compte tenu de la pénurie des praticiens, serait-il est envisageable d'avoir des non médecins à la tête des DIM ?
Pourquoi de nombreuses personnes concernées par la régularisation sont-elles encore en situation précaire ? Par ailleurs, un point m'intrigue : on nous dit que seulement 10 % des nouveaux médecins formés par nos universités choisissent l'exercice libéral : où vont les autres, puisqu'ils manquent dans nos hôpitaux ?
Ces difficultés vont perdurer.
Cela suffira-t-il ?
Ils ont cinq années pour préparer cette échéance.
Une forme d'accompagnement par les chefs de service serait souhaitable. Comparaison n'est pas raison, toutefois nous avons tous eu dans nos collectivités des collaborateurs que nous avons dû inciter plusieurs fois à passer les concours.
La Cour des comptes estime qu'il faudra le resserrer dans quelques années...
Bien sûr !
En ce qui concerne le transfert à la CNSA, confirmez-vous qu'il s'agit bien d'une opération dont l'impact financier est quasiment neutre ?