Les amendements de Claude Kern pour ce dossier

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Les exploitations alsaciennes sont en général plus petites que la moyenne nationale. Beaucoup d’entre elles ont dû diversifier leur production : maraîchage, arboriculture, viticulture… Naturellement, la main-d’œuvre saisonnière est forte ; elle représente 40 % du coût de production. La suppression envisagée représente un véritable coup de mass...

Le présent amendement vise à stimuler le développement du covoiturage entre le domicile et le lieu de travail. En effet, aujourd’hui, deux tiers des salariés se rendent individuellement au travail en voiture. Ils sont largement captifs, surtout en milieu rural, de ce moyen de déplacement non optimal du point de vue économique et environnemental...

Le présent amendement vise à stimuler le développement du covoiturage entre le domicile et le lieu de travail. En effet, aujourd’hui, deux tiers des salariés se rendent individuellement au travail en voiture. Ils sont largement captifs, surtout en milieu rural, de ce moyen de déplacement non optimal du point de vue économique et environnemental...

J’ai bien entendu les arguments de M. le ministre et, surtout, l’engagement qu’il a pris. Je serai très vigilant lors de l’examen du projet de loi de finances. Pour l’heure, je retire cet amendement d’appel.

J’ai bien entendu les arguments de M. le ministre et, surtout, l’engagement qu’il a pris. Je serai très vigilant lors de l’examen du projet de loi de finances. Pour l’heure, je retire cet amendement d’appel.

Mes propos rejoindront ceux de mes collègues Nathalie Delattre et Marie-Pierre Monier. Effectivement, pour nos agriculteurs, le compte n’y est pas ! La perte par rapport au dispositif actuel s’élèvera à 189 euros par mois et par un salarié. Or les exploitants alsaciens ont de gros besoins en main-d’œuvre. Plus petites que la moyenne française,...

Mes propos rejoindront ceux de mes collègues Nathalie Delattre et Marie-Pierre Monier. Effectivement, pour nos agriculteurs, le compte n’y est pas ! La perte par rapport au dispositif actuel s’élèvera à 189 euros par mois et par un salarié. Or les exploitants alsaciens ont de gros besoins en main-d’œuvre. Plus petites que la moyenne française,...