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Quarante secondes de plus !
Une minute de plus !
Ce n’est pas une bande qui a commis cet acte !
Il y en a déjà !
Retirez ces propos !
Bien sûr…
J’attends que vous me donniez un cours, madame !
Monsieur le président, madame la secrétaire d'État, mes chers collègues, l’intitulé de cette proposition de loi fait référence à « la fracture numérique ». À mon sens, la formule n’est pas complètement pertinente. En effet, il y a non pas « une » fracture, mais bien « des » fractures numériques. Si on ne perçoit pas cette réalité, on ne peut p...
En effet, imaginons que l’ensemble de nos concitoyens puissent demain avoir accès au numérique grâce à des infrastructures de qualité, comme nous le souhaitons tous : les fractures existeraient toujours, voire s’aggraveraient, si les autres dimensions du problème n’étaient pas abordées ! Je pense aux fractures sociales, au sens large, c'est-à-...
Je demande la parole pour une explication de vote, madame la présidente.
Oui, je le sais très bien, mais le tout-numérique, c’est pour le 2 février, et c’est du concret ! Nous avions pointé du doigt dès 2007 cette réalité, monsieur Retailleau.
Quelle petite manœuvre…
Il nous a été répondu que l’expérience du Royaume-Uni avait été soigneusement examinée. Eh bien, parlons-en : les Britanniques ont mis trois ans pour préparer le terrain, en ne se contentant pas de la seule technologie mais en allant au fond des problèmes sociaux pour qu’il n’y ait pas de laissés-pour-compte. Le numérique n’est pas un confort ...
Je connais tous ces programmes, et je peux vous dire que nous sommes en retard ! L’effort n’est pas à la hauteur, et pas uniquement en termes de compétitivité et d’intérêts. Il y va de la citoyenneté, de l’accès à la culture, à l’éducation. Il s’agit ici de réduire une fracture sociale profonde. Il est faux de croire, parce que la globalisati...
M. David Assouline. Nous exercerons simplement notre vigilance dans cet hémicycle, et pas uniquement sur ce texte de loi, pour que le numérique entre dans la vie sinon de l’ensemble de nos concitoyens, du moins du plus grand nombre.
Il n’y a pas de planification !
Il faut fixer une date !
Il est reparti en Lozère !
Le point que M. Teston vient de soulever n’est tout de même pas anecdotique. L’article 40 ne peut pas être utilisé à discrétion si nous voulons, ici, faire respecter les procédures propres aux délibérations de la Haute Assemblée. Il est impossible que puisse être invoquée sans explication, notamment de la commission des finances, l’irrecevabili...
Une parabole plate, c’est intéressant…