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En effet, il est inacceptable de faire revenir par la fenêtre ce qui était sorti par la porte. La question du travail du dimanche mérite un vrai débat politique au sein du Parlement.
Ce n’est donc pas au détour d’un texte sur le tourisme qu’il faut aborder ce sujet !
M. Didier Guillaume. Le travail du dimanche n’est pas, comme notre collègue Hervé Maurey l’a indiqué tout à l'heure, une chance supplémentaire pour le tourisme : c’est un recul de plus pour le salarié et le citoyen !
Aussi notre groupe s’opposera-t-il à tout amendement tendant à réintégrer dans ce texte le travail du dimanche. Sous réserve que cet amendement ne soit pas voté, nous considérons, je le répète, de manière assez favorable, monsieur le secrétaire d'État, le texte qui nous est proposé. Quelles que soient les travées sur lesquelles nous siégeons, ...
Voilà une bonne question !
La crise, c’est maintenant !
s'est déclaré très inquiet de la situation du Japon, indiquant qu'une catastrophe sociale était en préparation. Soulignant que la société japonaise était en train de se déliter, il a estimé néanmoins, et en dépit de l'avenir incertain du pays, que la France devrait beaucoup plus s'y intéresser. Appuyant cette analyse, M. Jean Desessard a estim...
M. Didier Guillaume. La colère aurait été mauvaise conseillère !
Nous maintenons cet amendement parce que, comme nous avons déjà eu hier soir l’occasion de le souligner, il faut donner des signes.
Il nous semble que cet amendement donne des signes encore plus forts que la rédaction actuelle de l’article 28 : il s’agit de traiter non pas uniquement les agriculteurs biologiques, mais la filière, les circuits, les entreprises.
Ce projet de loi est un texte d’orientation. La phrase que nous proposons d’y ajouter mettrait en exergue la volonté du Gouvernement et de la commission d’aller dans cette direction. Ce n’est pas une fois de plus montrer du doigt, ce n’est pas une fois de plus ne jurer que par le bio, bien au contraire ! L’amendement excellemment présenté par ...
Il n’a pas tort !
Madame la présidente, madame la secrétaire d’État, mes chers collègues, dans le présent texte est rappelée la vocation première de l’agriculture : répondre aux besoins alimentaires de la population. J’évoquerai plus spécifiquement l’agriculture biologique, et, parodiant un célèbre poète bigourdan, François Fortassin, …
M. Didier Guillaume. … qui nous affirmait, hier soir, être un « militant de l’eau », je vous annoncerai que je suis un « militant du bio ».
Dans le domaine de l’agriculture biologique, c’est en participant au développement d’expérimentations que l’État, les collectivités locales et les acteurs publics peuvent faciliter l’émergence d’une filière de qualité. Dans les départements fortement engagés en faveur de l’agriculture biologique, des signes extrêmement encourageants peuvent, d...
Très bien !
Par contre, des mulets qui savent conduire… (Sourires.)
Nous sommes au cœur du débat sur l’agriculture. Il faut éviter tout manichéisme. Évidemment, la France a demandé aux agriculteurs, au cours des trente ou quarante dernières années, de produire toujours plus pour nourrir la France, dans un premier temps, et l’Europe, dans un second temps. La France a été le grenier de l’Europe, nous le savons t...
Nous nous engageons dans un débat qui peut durer…
… des heures, des jours, voire des semaines ! Nous discutons d’un projet de loi de programme relatif à la mise en œuvre du Grenelle de l’environnement et non pas d’une loi-cadre sur l’agriculture en France en nous appuyant sur le passé pour tracer les perspectives d’avenir. Mais les questions peuvent être conjointes, monsieur le président de la...