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Vous légitimez l’extrême droite !
Arrêter les casseurs !
Comment le pourraient-elles ?
Et pas le droit de casser !
Oui !
Faux !
Pas pour le prévenir !
Ce n’est pas l’objet !
M. François Grosdidier. On parle de violences !
Jaurès, ce n’est pas les années soixante-dix ! Vous confondez avec Jean-Paul Sartre.
Quelle caricature !
Alors, on ne fait rien ?
On ne fait que cela !
Au cours de la discussion générale, on a entendu beaucoup d’exercices rhétoriques sur la liberté de manifester, qui serait menacée, alors que ce texte vise d’abord, en réalité, à protéger le droit effectif de manifester pacifiquement. Il faut empêcher les casseurs, les extrémistes, les violents de s’introduire systématiquement dans les manifes...
Elles ont très bien fonctionné, en effet, puisque ce phénomène paraît aujourd’hui relever plutôt du passé. Notre idée initiale était de faire définir un périmètre par le préfet, comme pour les périmètres de contrôle en vue de la prévention des attentats. L’Assemblée nationale a imaginé introduire une référence plus souple aux « abords immédiat...
… puisque vous nous avez expliqué à longueur de discours qu’il était scandaleux de donner le pouvoir aux préfets et qu’il fallait plutôt le donner aux magistrats ! Or, c’est précisément ce que prévoit désormais le texte ! Vous êtes en totale contradiction avec vous-mêmes !
La bonne foi est de notre côté. C’est avec conviction que nous voterons cet article conforme.
C’est un magistrat !
Légiférer, c’est, certes, mettre de la distance avec l’actualité, mais sûrement pas une distance stratosphérique, en se situant dans un autre monde.
Contrairement à ce que semblent considérer ceux qui parlent d’un texte de circonstance, les casseurs ne sont pas un épiphénomène.