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Comme vous le voyez, monsieur le ministre, les viticulteurs font de gros efforts, voire, pour beaucoup d'entre eux, des sacrifices : certains sont même au bord de la faillite.
Je conclus, monsieur le président. Monsieur le ministre, dans quelle mesure et selon quelles modalités avez-vous l'intention de soutenir nos viticulteurs dans la période extrêmement difficile qu'ils traversent ?
Monsieur le président, monsieur le ministre, monsieur le secrétaire d'Etat, mes chers collègues, je voudrais saisir l'occasion de la discussion de ce projet de budget pour souligner, tout d'abord, les nombreuses incertitudes qui affectent aujourd'hui le monde agricole. Sur le plan national, les résultats économiques de l'agriculture pour l'ann...
... je considère qu'ils bénéficient d'une évolution globalement favorable, compte tenu des contraintes budgétaires qui sont les leurs. D'un point de vue global, il convient de souligner que le projet de budget de l'agriculture reste stable, du fait des reports de crédits annoncés. Il faut également rappeler qu'il ne correspond finalement qu'à...
M. Gérard César. Je tiens tout d'abord à vous saluer, monsieur le ministre, et à vous dire combien nous sommes heureux de vous voir aujourd'hui à ce poste, d'autant que vous êtes l'élu d'un département viticole, voisin de la Gironde.
'J'interviens en qualité de président du groupe d'études sénatorial « Vigne et vin ». Il m'apparaît, en effet, extrêmement important d'appeler votre attention sur la situation de la viticulture française et des viticulteurs. La filière vitivinicole, fleuron du secteur agroalimentaire français, est actuellement confrontée à une crise importante...
, je m'interroge, alors que l'on veut interdire la publicité sur le vin ! Je trouve qu'il y a deux poids et deux mesures ! De surcroît, les moyens financiers des viticulteurs ne sont pas ceux des producteurs d'alcool. Voilà ce que je dénonce, monsieur le ministre !
La qualité des vins français est un véritable patrimoine et leur force repose essentiellement sur les notions de terroirs et de typicité des produits. La grande diversité de nos vins fait leur succès mondial. Elle sert l'image touristique et culturelle de notre pays. Elle contribue de manière non négligeable à l'excédent de notre balance comme...
Mais vous allez chercher, monsieur le président !
M. Gérard César. Bien connu !
J'ai assisté ce matin à la réunion de la commission des affaires économiques et je confirme les propos de M. le rapporteur. La commission a suivi toutes ses propositions et, dans sa majorité, elle le suivra en votant le sous-amendement n° 70 rectifié.
L'heure n'est plus ni aux a priori idéologiques ni aux atermoiements de circonstance. Le temps de l'immobilisme est révolu, contrairement à ce que pense l'opposition. A ce titre, monsieur le ministre, nous tenons à saluer votre pragmatisme, de même que celui qu'a manifesté le Gouvernement à travers les choix qu'il fait pour nos grands é...
M. Gérard César. Contre toute attente, je n'évoquerai pas le vin aujourd'hui, me réservant pour plus tard.
Monsieur le ministre, nous sommes parvenus à la moitié de la législature, ...
...un bilan s'impose.
Le Gouvernement a tenu la feuille de route tracée par le Président de la République.
M. Gérard César. Malgré la conjoncture difficile, vous avez su tenir bon et engager des réformes nécessaires pour le pays qui n'avaient que trop tardé, en raison du manque de courage politique de vos prédécesseurs !
Je pense bien entendu à la réforme des retraites et à celle de l'assurance maladie, à la décentralisation, dont le financement est désormais garanti par la Constitution.
Je pense également à l'augmentation de la prime pour l'emploi, au nouveau départ offert à nos concitoyens surendettés grâce à la loi Borloo, aux 170 000 contrats jeunes en entreprise et aux quelque 250 000 jeunes qui seront en contrat d'activité dès l'année prochaine.
Je pense encore à la baisse historique de la délinquance et des accidents de la route, à la volonté de mettre en place le plan dépendance, à la loi sur la laïcité ou à la réforme de la double peine. Mais nous ne sommes qu'à la moitié du gué...