Voilà quelques semaines, notre collègue Philippe Marini expliquait son vote sur la première partie en ces termes : « […] quelle qu’ait été la qualité de l’appui dont nous avons bénéficié de la part de nos services, quelle qu’ait été la qualité de la présidence ou des interventions de M. le ministre, il va falloir que nous prenions nos responsabilités. » Pour lui, prendre ses responsabilités signifiait voter contre.
De mon point de vue, en affirmant qu’il faut aujourd'hui reprendre l’ensemble des travaux sur le présent projet de loi de finances, M. Marini fuit ses responsabilités institutionnelles et se comporte en agitateur d’opposition !