L'exposé lumineux de M. Saint-Amans me met un peu mal à l'aise. Il faudra de la pédagogie pour expliquer à nos concitoyens que le secret fiscal a disparu de notre monde.
Quant à la fiscalité environnementale, je comprends, d'un point de vue théorique, qu'il vaut mieux taxer le carburant plutôt que la puissance du moteur. Néanmoins, dans un cas, on taxe les riches qui ont les moyens d'acquérir un véhicule de grosse cylindrée et, de l'autre, on taxe les pauvres, contraints de conserver de vieux véhicules plus gourmands en carburant que les voitures actuelles. Pour ma part, je préfère imposer les riches.