Ce dispositif pourrait être mis en oeuvre contre la volonté d'un des parents, non informé de cette délégation. Il créerait une concurrence entre le second parent et le beau-parent. Il pourrait en outre être rompu hors de tout contrôle du juge aux affaires familiales, à qui revient pourtant la charge de veiller à l'intérêt de l'enfant. Enfin, il est largement satisfait par le droit en vigueur et la délégation partage de l'article 377-1 du code civil. Au surplus, les difficultés d'application sont nombreuses.