Je soutiens l'amendement de M. le rapporteur, d'autant plus que l'abrogation, bien plus fréquente que le retrait, constitue la fin normale de la vie d'un texte. Ce sera aussi l'occasion de solliciter le Gouvernement, et en particulier le Secrétariat général du Gouvernement et le Conseil d'État, sur l'instabilité provoquée par l'abrogation de l'abrogation. Dans quels cas l'ancien texte revit-il, et dans quels cas n'y a-t-il plus de norme ?
L'amendement n° 9 est adopté.