Monsieur le secrétaire d’État, je vous propose de faire la moitié du chemin : venez, dès que votre emploi du temps vous le permettra, à Saint-Denis-sur-Sarthon. Il faut en effet examiner la situation sur place.
En outre, le préfet paraît tout à fait décidé à trouver une solution, mais je pense qu’il faut que vous puissiez forger votre propre opinion sur une situation qui est loin d’être banale et sur laquelle Dominique Bussereau, après sept ou huit autres ministres, s’était déjà engagé. Nous prendrons date, ce soir sans doute, pour un de vos premiers voyages officiels dans l’Orne, qui est un département extrêmement accueillant !