J’ai été attentif à toutes les précisions que vous venez de nous apporter, monsieur le secrétaire d’État. D’ailleurs, vous l’avez compris, nous n’avons d’autres préoccupations que d’aider le Gouvernement à maîtriser la dépense publique.
Le rapport de la Cour des comptes est sans ambiguïté et ses recommandations doivent nécessairement être suivies d’effets. Les rapports de cette institution n’ont en effet pas vocation à remplir les placards, sinon autant la supprimer.