Je ne sous-estime pas l’ampleur des mesures que vous avez prises sous le contrôle du directeur général, c’est un premier pas. Reste que nous devons également faire passer un message aux contrôleurs aériens : nous attendons d’eux un service. L’opinion publique est en droit de connaître les conditions dans lesquelles ils travaillent : le nombre de jours de présence, le nombre d’heures effectuées. Ceux-ci accomplissent sans aucun doute une tâche très difficile, délicate, mais l’opacité dans laquelle ce corps évolue doit cesser.
Il existe maintenant un pilotage.