C’est un objectif que partagent la plupart d’entre nous – sauf M. Desessard, naturellement –, qui constatent qu’aujourd’hui l’administration de cette entité est partagée en de multiples décideurs et ne permet nullement de dégager des perspectives et encore moins des ambitions.
Je comprends que certains d’entre nous aient souhaité que l’on s’attache d’abord à la gouvernance du Grand Paris ; il faudra y venir, et Philippe Dallier ne manquera certainement pas de l’évoquer dans son intervention tout à l’heure.
Quoi qu’il en soit, le Gouvernement a choisi de faire face à l’urgence.